Titre :	La règle de trois : l’analogie dans Le Rêve de D’Alembert
Type de document :	texte imprimé et manuscrit
Auteurs :	Anne Beate MAURSETH
Année de publication :	2003
Note générale :	Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, n°34, avril 2003, document 9.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Mots-clés philosophie Personnes concernées ALEMBERT, Jean Le Rond d' ; DIDEROT, Denis Période concernée 18e siècle
Résumé :	A la fin de l’« Entretien entre D’Alembert et Diderot », Diderot présente sa propre définition de l’analogie : « L’analogie, dans les cas les plus composés, n’est qu’une règle de trois qui s’exécute dans l’instrument sensible ». Cette définition s’écarte nettement de celles que l’on peut trouver dans les différents dictionnaires de l’époque, où l’analogie est définie comme rapport ou proportion. La définition que propose Diderot ne peut guère être comprise si l’on ne tient compte de la discussion sur la sensibilité universelle de laquelle elle surgit. La définition de l’analogie tire elle-même profit de deux discours différents : celui des mathématiques et celui de la musique. Cet article examine comment Diderot fait de la règle de trois un pivot central du « Rêve de D’Alembert ».
Permalink :	https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=18038

La règle de trois : l’analogie dans Le Rêve de D’Alembert [texte imprimé et manuscrit] / Anne Beate MAURSETH . - 2003.
Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, n°34, avril 2003, document 9.
Langues : Français (fre)

Catégories :	Mots-clés philosophie Personnes concernées ALEMBERT, Jean Le Rond d' ; DIDEROT, Denis Période concernée 18e siècle
Résumé :	A la fin de l’« Entretien entre D’Alembert et Diderot », Diderot présente sa propre définition de l’analogie : « L’analogie, dans les cas les plus composés, n’est qu’une règle de trois qui s’exécute dans l’instrument sensible ». Cette définition s’écarte nettement de celles que l’on peut trouver dans les différents dictionnaires de l’époque, où l’analogie est définie comme rapport ou proportion. La définition que propose Diderot ne peut guère être comprise si l’on ne tient compte de la discussion sur la sensibilité universelle de laquelle elle surgit. La définition de l’analogie tire elle-même profit de deux discours différents : celui des mathématiques et celui de la musique. Cet article examine comment Diderot fait de la règle de trois un pivot central du « Rêve de D’Alembert ».
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