Titre :	Livre des dessus en trio : copié par Michel Pellion à Florence l'an 1717
Type de document :	PARTITIONS
Auteurs :	Michel PELLION, Transcripteur
Oeuvres / Expressions :	ANTHOLOGIE. - Dessus en trio. Lyon. Bm. 133635 PELLION, M. - Livre des dessus en trio. Lyon. Bm. 133635
Importance :	76 p.
Note générale :	Parties. - Provenance : Lyon : Bibliothèque municipale : Rés. FM 133635
Catégories :	Effectif général 3 voix [sans accompagnement] Lieux concernés France Période concernée 18e siècle
Résumé :	recueil
Note de contenu :	Airs attribués par erreur à Du Bousset alors qu'ils sont de Brossard : - Que maudit soit le fracas de la guerre ; J'allois mourir d'amour ; Ah ! n'aimerez vous point un jour. Anonymes tirés des Brunettes : - Tircis et Cloris s'absentent chaque jour de leur troupeau ; Ah ! que vos yeux sont adorables ; Que pas un ne recule à dire sa chanson ; Un tendre amour nous inquiette ; Les plus beaux de nos jours ; Que l'absence d'une belle est un rigoureux tourment ; Je veux toujours être volage ; J'ayme Tircis ; J'ai pour tout bien une musette ;Courons à nos musettes ; Bacus nous unit tous trois ; Ouy je t'ayme ; Tu ne dois pas jeune Lisette choisir un autre berger ; J'ay dit cent fois à ma bergère ; Toutes nos vignes sont fleuries ; Ah ! que ces bois ces ruisseaux ; Nous voyageons parmi le monde ; Suivons Bacus Chérissons sa liqueur ;Petits oiseaux dans la saison nouvelle ; Il n'est point sans les amours de plaisirs ; Mon cher troupeau cherchés la pleine fuyés les bois ; Souffrés que l'amour vous blesse ; Ah ! qu'il est doux Seigneur d'être dans vos liens ; J'étois aimé d'une jeune Bergère ; Pour être heureux tendres amans soyés constans. - Heureux qui de ses jours scoit faire un doux usage ; Ah ! qu l'amour donne de doux momens ; Vois-tu nos agneaux Lisette ; L'Amour n'a t'il rien qui te tente. - Nicolas va voir Jeanne et Jeanne dormés vous ; Les Bergers qui n'ont point de véritable foeux ; Je ne puis Colin tarder davantage ; Que je serois content Brunette si je conduisois ton troupeau ; Ah ! petite Bergère tu pourrois bien m'aymer. - Grand favory d'ut, ré, mi, fa, sol ; A table avec mes amis ke chasse la mélancolie ; Vous partés belle Chimène ; Partout où Climène fait voir ses appas ; Aymons nous l'amour nous appelle ; Dans nos bois l'Amour tient son Empire ; Célimène prude et sage haïssait tant les badins : Je ne saurois offrir à ma Bergère. - D'où peuvent naître tant de roses ; Nos troupeaux à l'amour se laissent enflamer / Du Parc. - Madonte avec Damon assis sur la fougère / Le Cointre - Le Verbe s'est fait chair pour commercer avec nous / Affrodis - Quoi toujours entonner ut re mi fa sol ; Ci-git compère Nicolas / Brunet de Moland - Lorsque j'entends le bruit que fait un tonnelier ; Je ne veux plus dormir que sur la table ; Si je meurs à force de boire ; Que la fille au Grou Coulas est une Moussade Bergère ; Non rien ne peut finir mon amoureuse peine ; A table avec mes amys je chasse la mélancolie / Dubuisson (?) L'Hyver dans tout ce qu'il respire / J.F. Rebel - Quand on aime et qu'on est sage, SdB 181 ; Que maudit soit le fracas de la guerre, SdB 203 ; Nos bergères sont légères, SdB 200 ; Ah ! quelle folie d'aimer, SdB 205 ; Motet de Vulcain, SdB 212 : Fabri cum per incudem ; J'allois mourir d'amour, SbB 202 ; Ah n'aimerez-vous point un jour, SdB 182 ; Jeunne et charmante Iris, SbB 201 / Brossard - Suite des Stances Chrétiennes : Que dangereux est la surprise d'une erreur ; Stances chrétiennes : Loin de moi vains soucis frivolle, Avant que le soleil commence sa carrière, Non je n'écoute plus que Dieu seul qui m'appelle, Non je n'écoute plus que Dieu seul qui m'appelle / Oudot - de Cadmus (LWV 49) : Gardons bien d'avoir envie, Profitons des beaux jours. - de Bellérophon (LWV 57): Après avoir chanté les fureurs de la guerre, De ce vin frais buvons à longs traits sur l'air Assés de pleurs. - de Persée (LWV 60) : Ah ! que l'amour cause d'alarmes, Quel heureux jour, Le tems seul peut guérir les maux que l'amour fait souffrir. - d'Armide (LWV 71) : Ah ! quelle erreur quelle folie de ne pas jouir de la vie. - d'Alceste (LWV 50): Qu'on fasse la guerre par mer par terre, Jeunes coeurs laissés vous prendre. - d'Acis (LWV 73) : L'Amour qu'on outrage se transforme en rage. - de Rolland (LWV 65) : Que le feu d'amour, Triomphé charmante Reine, Qui goutte de l'amour ne peut plus se défendre. - d'Isis (LWV 54) : S'il est quelque bien au monde, Ne troublez pas les charmes de vos divins concerts, L'Hiver qui nous tourmente. - d'Amadis de Grèce (LWV 63) : Vous ne devez plus attendre rien qui trouble vos désirs, Coeurs accablés de rigueurs inhumaines. - d'Atis (LWV 53) : Dormons tous, Que devant vous tout s'abaisse et tout tremble, La beauté la plus sévère prend pitié, L'Hymen seul ne sauroit plaire, D'une constance extrême un ruisseau suit son cours, En vain un coeur incertain de son choix, Que tout sente icy bas l'horreur d'un si cruel trépas, Après une trahison si la raison m'éclaire, Un amour malheureux dont le devoir offense, La beauté la plus sévère prend pitié d'un long tourment. - La Grotte de Versailles (LWV 39) : Gouttons bien les plaisirs Bergère, - du Triomphe de l'amour (LWV 59) : Tout l'univers seroit sans âme. - des Fêtes de Bacus (LWV 47) : Ah ! qu'il est beau le Jouvenceau. - du Temple de la Paix (LWV 69) : Que la gloire à jamais le couronne, Mon père je viens devant vous sur les paroles de On ne vit plus, Que la Gloire à jamais le couronne, Ainsi qu'après l'orage le Coeleste flambeau. - de Phaéton (LWV 61) : Cherchons la paix dans cet Azille, Plaisirs venés sans crainte. - d'Adonis : Heureux amans que vos flames sont belles. - de Thésée (LWV 51) : Quel plaisir d'aymer sans contrainte. - On n'entend plus dans ces bocages. - v, e, ve, n, e, ne, vene... air divertissant sur la barbe des capucins. - Trios de la Chambre du Roi (LWV 35) : Dans nos bois Sylvandre s'écrie, La Jeune Iris me fait aymer. - Nicht Datierbare Weltliche Vokalwerke (LWV 76) : Où êtes-vous allés mes belles amourettes / Lully Croissés sous nos pas charmantes fleurettes. - Puis qu'on ne peut un jour vous parler. - Le Printemps a vu naître et finir mon Amour. - Chaque jour mon Iris devient plus inhumaine. - Sillery ne vit plus. - Ah ! que mon sort est déplorable d'aymer toujour. - Si Tircis est un inconstant. - L'Hymen est pour moi sans attraits.. - Vous laissiés mon amour languir dans la contrainte, mais de mon coeur le vin bannit la crainte. - Je prétens tous les ans me battre, aymer et boire. - Malgré le changement de l'injuste Climène. - Je prétens tous les ans ma battre, aymer et boire. - Que nous voyons de fleurs nouvelles voicy la saison des amours / JB Drouart de Bousset - La Naissance de Vénus : Gardons-nous de briser nos liens, Célébrons les vertus admirons les exploits, Sur l'herbe de nos campagnes Nanette pleuroit un jour / Colasse
Adresse :	Manuscrit
Provenance (cote source) :	F-LYm/ Rés FM 133635
Permalink :	https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=14438

Livre des dessus en trio : copié par Michel Pellion à Florence l'an 1717 [PARTITIONS] / Michel PELLION, Transcripteur . - [s.d.] . - 76 p.
Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Dessus en trio. Lyon. Bm. 133635
PELLION, M. - Livre des dessus en trio. Lyon. Bm. 133635

Parties. - Provenance : Lyon : Bibliothèque municipale : Rés. FM 133635

Catégories :	Effectif général 3 voix [sans accompagnement] Lieux concernés France Période concernée 18e siècle
Résumé :	recueil
Note de contenu :	Airs attribués par erreur à Du Bousset alors qu'ils sont de Brossard : - Que maudit soit le fracas de la guerre ; J'allois mourir d'amour ; Ah ! n'aimerez vous point un jour. Anonymes tirés des Brunettes : - Tircis et Cloris s'absentent chaque jour de leur troupeau ; Ah ! que vos yeux sont adorables ; Que pas un ne recule à dire sa chanson ; Un tendre amour nous inquiette ; Les plus beaux de nos jours ; Que l'absence d'une belle est un rigoureux tourment ; Je veux toujours être volage ; J'ayme Tircis ; J'ai pour tout bien une musette ;Courons à nos musettes ; Bacus nous unit tous trois ; Ouy je t'ayme ; Tu ne dois pas jeune Lisette choisir un autre berger ; J'ay dit cent fois à ma bergère ; Toutes nos vignes sont fleuries ; Ah ! que ces bois ces ruisseaux ; Nous voyageons parmi le monde ; Suivons Bacus Chérissons sa liqueur ;Petits oiseaux dans la saison nouvelle ; Il n'est point sans les amours de plaisirs ; Mon cher troupeau cherchés la pleine fuyés les bois ; Souffrés que l'amour vous blesse ; Ah ! qu'il est doux Seigneur d'être dans vos liens ; J'étois aimé d'une jeune Bergère ; Pour être heureux tendres amans soyés constans. - Heureux qui de ses jours scoit faire un doux usage ; Ah ! qu l'amour donne de doux momens ; Vois-tu nos agneaux Lisette ; L'Amour n'a t'il rien qui te tente. - Nicolas va voir Jeanne et Jeanne dormés vous ; Les Bergers qui n'ont point de véritable foeux ; Je ne puis Colin tarder davantage ; Que je serois content Brunette si je conduisois ton troupeau ; Ah ! petite Bergère tu pourrois bien m'aymer. - Grand favory d'ut, ré, mi, fa, sol ; A table avec mes amis ke chasse la mélancolie ; Vous partés belle Chimène ; Partout où Climène fait voir ses appas ; Aymons nous l'amour nous appelle ; Dans nos bois l'Amour tient son Empire ; Célimène prude et sage haïssait tant les badins : Je ne saurois offrir à ma Bergère. - D'où peuvent naître tant de roses ; Nos troupeaux à l'amour se laissent enflamer / Du Parc. - Madonte avec Damon assis sur la fougère / Le Cointre - Le Verbe s'est fait chair pour commercer avec nous / Affrodis - Quoi toujours entonner ut re mi fa sol ; Ci-git compère Nicolas / Brunet de Moland - Lorsque j'entends le bruit que fait un tonnelier ; Je ne veux plus dormir que sur la table ; Si je meurs à force de boire ; Que la fille au Grou Coulas est une Moussade Bergère ; Non rien ne peut finir mon amoureuse peine ; A table avec mes amys je chasse la mélancolie / Dubuisson (?) L'Hyver dans tout ce qu'il respire / J.F. Rebel - Quand on aime et qu'on est sage, SdB 181 ; Que maudit soit le fracas de la guerre, SdB 203 ; Nos bergères sont légères, SdB 200 ; Ah ! quelle folie d'aimer, SdB 205 ; Motet de Vulcain, SdB 212 : Fabri cum per incudem ; J'allois mourir d'amour, SbB 202 ; Ah n'aimerez-vous point un jour, SdB 182 ; Jeunne et charmante Iris, SbB 201 / Brossard - Suite des Stances Chrétiennes : Que dangereux est la surprise d'une erreur ; Stances chrétiennes : Loin de moi vains soucis frivolle, Avant que le soleil commence sa carrière, Non je n'écoute plus que Dieu seul qui m'appelle, Non je n'écoute plus que Dieu seul qui m'appelle / Oudot - de Cadmus (LWV 49) : Gardons bien d'avoir envie, Profitons des beaux jours. - de Bellérophon (LWV 57): Après avoir chanté les fureurs de la guerre, De ce vin frais buvons à longs traits sur l'air Assés de pleurs. - de Persée (LWV 60) : Ah ! que l'amour cause d'alarmes, Quel heureux jour, Le tems seul peut guérir les maux que l'amour fait souffrir. - d'Armide (LWV 71) : Ah ! quelle erreur quelle folie de ne pas jouir de la vie. - d'Alceste (LWV 50): Qu'on fasse la guerre par mer par terre, Jeunes coeurs laissés vous prendre. - d'Acis (LWV 73) : L'Amour qu'on outrage se transforme en rage. - de Rolland (LWV 65) : Que le feu d'amour, Triomphé charmante Reine, Qui goutte de l'amour ne peut plus se défendre. - d'Isis (LWV 54) : S'il est quelque bien au monde, Ne troublez pas les charmes de vos divins concerts, L'Hiver qui nous tourmente. - d'Amadis de Grèce (LWV 63) : Vous ne devez plus attendre rien qui trouble vos désirs, Coeurs accablés de rigueurs inhumaines. - d'Atis (LWV 53) : Dormons tous, Que devant vous tout s'abaisse et tout tremble, La beauté la plus sévère prend pitié, L'Hymen seul ne sauroit plaire, D'une constance extrême un ruisseau suit son cours, En vain un coeur incertain de son choix, Que tout sente icy bas l'horreur d'un si cruel trépas, Après une trahison si la raison m'éclaire, Un amour malheureux dont le devoir offense, La beauté la plus sévère prend pitié d'un long tourment. - La Grotte de Versailles (LWV 39) : Gouttons bien les plaisirs Bergère, - du Triomphe de l'amour (LWV 59) : Tout l'univers seroit sans âme. - des Fêtes de Bacus (LWV 47) : Ah ! qu'il est beau le Jouvenceau. - du Temple de la Paix (LWV 69) : Que la gloire à jamais le couronne, Mon père je viens devant vous sur les paroles de On ne vit plus, Que la Gloire à jamais le couronne, Ainsi qu'après l'orage le Coeleste flambeau. - de Phaéton (LWV 61) : Cherchons la paix dans cet Azille, Plaisirs venés sans crainte. - d'Adonis : Heureux amans que vos flames sont belles. - de Thésée (LWV 51) : Quel plaisir d'aymer sans contrainte. - On n'entend plus dans ces bocages. - v, e, ve, n, e, ne, vene... air divertissant sur la barbe des capucins. - Trios de la Chambre du Roi (LWV 35) : Dans nos bois Sylvandre s'écrie, La Jeune Iris me fait aymer. - Nicht Datierbare Weltliche Vokalwerke (LWV 76) : Où êtes-vous allés mes belles amourettes / Lully Croissés sous nos pas charmantes fleurettes. - Puis qu'on ne peut un jour vous parler. - Le Printemps a vu naître et finir mon Amour. - Chaque jour mon Iris devient plus inhumaine. - Sillery ne vit plus. - Ah ! que mon sort est déplorable d'aymer toujour. - Si Tircis est un inconstant. - L'Hymen est pour moi sans attraits.. - Vous laissiés mon amour languir dans la contrainte, mais de mon coeur le vin bannit la crainte. - Je prétens tous les ans me battre, aymer et boire. - Malgré le changement de l'injuste Climène. - Je prétens tous les ans ma battre, aymer et boire. - Que nous voyons de fleurs nouvelles voicy la saison des amours / JB Drouart de Bousset - La Naissance de Vénus : Gardons-nous de briser nos liens, Célébrons les vertus admirons les exploits, Sur l'herbe de nos campagnes Nanette pleuroit un jour / Colasse
Adresse :	Manuscrit
Provenance (cote source) :	F-LYm/ Rés FM 133635
Permalink :	https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=14438