Catalogue de la bibliothèque du Centre de musique baroque de Versailles
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Airs avec la tablature de luth, premier livre (1624) / Étienne MOULINIÉ
Titre : Airs avec la tablature de luth, premier livre (1624) Type de document : AUDIOS Auteurs : Étienne MOULINIÉ Editeur : Toronto : SRC/CBC Oeuvres / Expressions : MOULINIÉ, É. - Airs de cour. Livre 1. 1624 Catégories : Effectif général
1 voix, luth
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Interprête
LE BLANC, Suzie ; STUBBS, Stephen
Titre significatif musique
Allez tristes soupirs ; Beaux yeux qui caches ; Ciel pitoyable à mes voeux ; Dans le lit de la mort ; Du ciel les portes sont ouvertes ; En approchant le bord ; Enfin au bord des eaux ; Enfin Hylas est arrêté ; Entre un espoir douteux ; Esprit autrefois amoureux ; Ha compagnon nous voila bien ; Iris n'est plus celle ; Mes yeux il est temps de pleurer ; Ne croyez vous jamais ; Ondes qui soulevez vos voûtes ; Où fuyez vous plein d'inconstance ; Paisible et ténébreuse nuit ; Puisque Cloris ; Quel nouveau Dieu ; Quittez cette fière rigueur ; Quoi faut-il donc vous dire adieu ; Rochers affreux ; Soleils astres puissants ; Soupirant au bord de Seine ; Tant de tourments soufferts ; Vous qui n'allégez pointNote de contenu : CBC Records / les disques SRC MVCD 1095. Contient : Allés tristes Soupirs, Tant de tourmens souffers, Vous qui n'allegés point, Ou fuyez vous plein d'inconstance, Beaux yeux qui cachés, En approchant le bord, Quittez quittez cette fière rigueur, Iris n'est plus celle qui nuit et jour, Quel nouveau dieu, Enfin Hylas est arresté, Puis que Clovis, Paisible et ténébreuse nuit, Mes yeux il est temps de pleurer, Ha ! compagnon nous voyla bien, Soleils astres puissans, Rochers affreux, Ondes qui souslevez vos voûtes, Ne croyez vous jamais, Esprits autrefois amoureux, Le Ciel pitoyable à mes voeux, Enfin la beauté que j'adore, Tirsis au bord des eaux, Soupirant au bord des eaux, Soupirant au bord de Seine, Quoy faut-il donc vous dire adieu, Dans le lit de la mort, Du ciel des portes sont ouvertes, Entre un espoir douteux Adresse : Société Radio-Canada, P 1996 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=8668 Airs avec la tablature de luth, premier livre (1624) [AUDIOS] / Étienne MOULINIÉ . - Toronto : SRC/CBC, [s.d.].
Oeuvre : MOULINIÉ, É. - Airs de cour. Livre 1. 1624
Catégories : Effectif général
1 voix, luth
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Interprête
LE BLANC, Suzie ; STUBBS, Stephen
Titre significatif musique
Allez tristes soupirs ; Beaux yeux qui caches ; Ciel pitoyable à mes voeux ; Dans le lit de la mort ; Du ciel les portes sont ouvertes ; En approchant le bord ; Enfin au bord des eaux ; Enfin Hylas est arrêté ; Entre un espoir douteux ; Esprit autrefois amoureux ; Ha compagnon nous voila bien ; Iris n'est plus celle ; Mes yeux il est temps de pleurer ; Ne croyez vous jamais ; Ondes qui soulevez vos voûtes ; Où fuyez vous plein d'inconstance ; Paisible et ténébreuse nuit ; Puisque Cloris ; Quel nouveau Dieu ; Quittez cette fière rigueur ; Quoi faut-il donc vous dire adieu ; Rochers affreux ; Soleils astres puissants ; Soupirant au bord de Seine ; Tant de tourments soufferts ; Vous qui n'allégez pointNote de contenu : CBC Records / les disques SRC MVCD 1095. Contient : Allés tristes Soupirs, Tant de tourmens souffers, Vous qui n'allegés point, Ou fuyez vous plein d'inconstance, Beaux yeux qui cachés, En approchant le bord, Quittez quittez cette fière rigueur, Iris n'est plus celle qui nuit et jour, Quel nouveau dieu, Enfin Hylas est arresté, Puis que Clovis, Paisible et ténébreuse nuit, Mes yeux il est temps de pleurer, Ha ! compagnon nous voyla bien, Soleils astres puissans, Rochers affreux, Ondes qui souslevez vos voûtes, Ne croyez vous jamais, Esprits autrefois amoureux, Le Ciel pitoyable à mes voeux, Enfin la beauté que j'adore, Tirsis au bord des eaux, Soupirant au bord des eaux, Soupirant au bord de Seine, Quoy faut-il donc vous dire adieu, Dans le lit de la mort, Du ciel des portes sont ouvertes, Entre un espoir douteux Adresse : Société Radio-Canada, P 1996 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=8668 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3213 CD 87 CD audio Bibliothèque du CMBV Salle de lecture Consultable sur place
DisponibleVI. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs / Anonyme
Titre : VI. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs Type de document : PARTITIONS Auteurs : Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Étienne MOULINIÉ Editeur : Paris : Pierre Ballard Oeuvres / Expressions : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. diff auteurs. Livre 6. 1624 Importance : 61 f. Catégories : Effectif général
1 voix seule
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
A la fin cette bergère ; Absent de l'objet de mon âme ; Allez tristes soupirs ; Ballet de la reine ; Ballet du Roi ; Beaux yeux qui caches ; Celui qui dit que l'absence ; Cessez mes pensers ennuyeux ; Ciel pitoyable à mes voeux ; Cloris de son oeil amoureux ; Cloris dont la beauté ; Cruel tyran de mes désirs ; D'Où sort cette grande clarté ; Dans la prison de mes cheveux ; De tous les maux je sens ; Délivres des horreurs ; Dessus le bord de ce rivage ; En approchant le bord ; Enfin Hylas est arrêté ; Enfin la beauté que je sers ; Esprit autrefois amoureux ; FAUT-IL QUE LES PERFECTIONS ; Grandes reines dont la Victoire ; HA COMPAGNONS ; HELAS QUE DE DOULEURS ; Heureux séjour de Parthénisse ; IL SORT DE NOS CORPS ; Iris n'est plus celle ; IRIS VOS RIGUEURS IHNUMAINES ; JE NE SUIS PLUS CETTE JUNON ; JE SERS DE L'OEIL ET DE PENSER ; JE VEUX QUE LE CIEL ME PUNISSE ; L'Amour de mon âme dispose ; LANGUISSANT AU BORD DE SEINE ; LAS QUE J'ENDURE DE MARTYRE ; Le berger plein d'amour ; Mes yeux il est temps de pleurer ; MES YEUX N'AYEZ PLUS QUE DES LARMES ; Ne délibérons plus ; O rigoureuse Cloris ; O trop heureux ; Ondes qui soulevez vos voûtes ; OU FUYEZ-VOUS ; Paisible et ténébreuse nuit ; POURQUOI ME DITES-VOUS ; PUISQUE CE DIEU VAINQUEUR ; Puisque Cloris ; PUISQUE L'AMOUR ; PUISQUE L'AN EST FINI ; Quel nouveau Dieu ; QUEL SORT MERVEILLE DE LA TERRE ; QUELLE EST CETTE MERVEILLE ; QUI N'EUT ETE DECU ; Quittez cette fière rigueur ; QUOI FAUT-IL DONC ; Rochers affreux ; SI TU CROIS QUE JE SENS DU MAL ; SOLEIL RETIREZ VOTRE JOUR ; Soleils astres puissants ; Soupirant au bord de Seine ; SUS DONC PUISQU'IL LE FAUT ; Vous qui n'allégez pointRésumé : recueil Note de contenu : Provenance : Paris : BNF : Rés. Vm7 277 [6]. Contient : Ballet du Roy : - Quel sort, merveilles de la terre. - Grandes Reynes, dont la victoire. Ballet de la Reyne : - O trop heureux ceux qui de nos traits. Airs : - Iris vos rigueurs inhumaines. - Heureux sejour de Parthenisse d'Alidor. - Si tu crois que je sens du mal. - Qui n'eust esté deçeu. - Dessus le bord de ce rivage. - Je veux que le Ciel me punisse. - L'Amour de mon ame dispose. - Sus donc puis qu'il le faut. - Celuy qui dit que l'absence. - Cloris de son oeil amoureux. - Cloris, dont la beauté. - Helas ! que de douleurs. - Mes yeux n'ayez plus que des larmes. - Mes yeux il est temps de pleurer. - Le berger plein d'amour. - Cessés mes pensers ennuieux. - Dans la prison de mes cheveux. - Faut-il que les perfections. - Pourquoy me dittes vous. - Puis que l'Amour m'a fait captive. - De tous les maux je sens le pire. - O rigoureuse Cloris. - Allés tristes soupirs. - Ou fuyez vous plein d'inconstance. - Beaux yeux qui cachés la flame. - Quittez, quittez cette fiere rigueur. - Iris n'est plus celle qui nuit jour. - Quel nouveau dieu sur ce rivage. - En fin Hylas est arresté. - Puis que Cloris pour qui je meurs. - Ha ! compagnons nous voyla bien. - Le ciel pitoyable à mes voeux. - En fin la beauté que j'adore. - Soupirant au bord de Seine. - Quoy faut-il donc vous dire adieu / Guédron. - Soleil retirés vostre jour. - Absent de l'objét de mon ame. - Las ! que j'endure de martire. - Puis que l'an est fini. - Languissant au bord de Seine. - Cruel tyran de mes desirs. - A la fin cette bergere. - Quelle est cette merveille. - Puis que l'Amour vainqueur. - Ne deliberons plus. - Je sers de l'oeil, du penser. - Je ne suis plus cette Junon. Récit du Ballet des Titeurs de buttes : - Delivrés des horreurs de Mars. Ballet du Monde Renversé : - D'où sort cette grande clairté. - Il sort de nos corps. Récit : - Vous qui n'allegés point. - En aprochant le bord. - Paisible tenebreuse nuit / Mouliné - Soleils, astres puissans. - Rochers affreux, vous ô Bois. - Ondes qui souslevez vos voûtes vagabondes. - Esprits autre-fois amoureux. Adresse : Paris : P. Ballard, 1624 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Rés Vm7 277/F-Pn Musique/ Rés Vm7 277 [ 6] Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4166 VI. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs [PARTITIONS] / Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Étienne MOULINIÉ . - Paris : Pierre Ballard, [s.d.] . - 61 f.
Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. diff auteurs. Livre 6. 1624
Catégories : Effectif général
1 voix seule
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
A la fin cette bergère ; Absent de l'objet de mon âme ; Allez tristes soupirs ; Ballet de la reine ; Ballet du Roi ; Beaux yeux qui caches ; Celui qui dit que l'absence ; Cessez mes pensers ennuyeux ; Ciel pitoyable à mes voeux ; Cloris de son oeil amoureux ; Cloris dont la beauté ; Cruel tyran de mes désirs ; D'Où sort cette grande clarté ; Dans la prison de mes cheveux ; De tous les maux je sens ; Délivres des horreurs ; Dessus le bord de ce rivage ; En approchant le bord ; Enfin Hylas est arrêté ; Enfin la beauté que je sers ; Esprit autrefois amoureux ; FAUT-IL QUE LES PERFECTIONS ; Grandes reines dont la Victoire ; HA COMPAGNONS ; HELAS QUE DE DOULEURS ; Heureux séjour de Parthénisse ; IL SORT DE NOS CORPS ; Iris n'est plus celle ; IRIS VOS RIGUEURS IHNUMAINES ; JE NE SUIS PLUS CETTE JUNON ; JE SERS DE L'OEIL ET DE PENSER ; JE VEUX QUE LE CIEL ME PUNISSE ; L'Amour de mon âme dispose ; LANGUISSANT AU BORD DE SEINE ; LAS QUE J'ENDURE DE MARTYRE ; Le berger plein d'amour ; Mes yeux il est temps de pleurer ; MES YEUX N'AYEZ PLUS QUE DES LARMES ; Ne délibérons plus ; O rigoureuse Cloris ; O trop heureux ; Ondes qui soulevez vos voûtes ; OU FUYEZ-VOUS ; Paisible et ténébreuse nuit ; POURQUOI ME DITES-VOUS ; PUISQUE CE DIEU VAINQUEUR ; Puisque Cloris ; PUISQUE L'AMOUR ; PUISQUE L'AN EST FINI ; Quel nouveau Dieu ; QUEL SORT MERVEILLE DE LA TERRE ; QUELLE EST CETTE MERVEILLE ; QUI N'EUT ETE DECU ; Quittez cette fière rigueur ; QUOI FAUT-IL DONC ; Rochers affreux ; SI TU CROIS QUE JE SENS DU MAL ; SOLEIL RETIREZ VOTRE JOUR ; Soleils astres puissants ; Soupirant au bord de Seine ; SUS DONC PUISQU'IL LE FAUT ; Vous qui n'allégez pointRésumé : recueil Note de contenu : Provenance : Paris : BNF : Rés. Vm7 277 [6]. Contient : Ballet du Roy : - Quel sort, merveilles de la terre. - Grandes Reynes, dont la victoire. Ballet de la Reyne : - O trop heureux ceux qui de nos traits. Airs : - Iris vos rigueurs inhumaines. - Heureux sejour de Parthenisse d'Alidor. - Si tu crois que je sens du mal. - Qui n'eust esté deçeu. - Dessus le bord de ce rivage. - Je veux que le Ciel me punisse. - L'Amour de mon ame dispose. - Sus donc puis qu'il le faut. - Celuy qui dit que l'absence. - Cloris de son oeil amoureux. - Cloris, dont la beauté. - Helas ! que de douleurs. - Mes yeux n'ayez plus que des larmes. - Mes yeux il est temps de pleurer. - Le berger plein d'amour. - Cessés mes pensers ennuieux. - Dans la prison de mes cheveux. - Faut-il que les perfections. - Pourquoy me dittes vous. - Puis que l'Amour m'a fait captive. - De tous les maux je sens le pire. - O rigoureuse Cloris. - Allés tristes soupirs. - Ou fuyez vous plein d'inconstance. - Beaux yeux qui cachés la flame. - Quittez, quittez cette fiere rigueur. - Iris n'est plus celle qui nuit jour. - Quel nouveau dieu sur ce rivage. - En fin Hylas est arresté. - Puis que Cloris pour qui je meurs. - Ha ! compagnons nous voyla bien. - Le ciel pitoyable à mes voeux. - En fin la beauté que j'adore. - Soupirant au bord de Seine. - Quoy faut-il donc vous dire adieu / Guédron. - Soleil retirés vostre jour. - Absent de l'objét de mon ame. - Las ! que j'endure de martire. - Puis que l'an est fini. - Languissant au bord de Seine. - Cruel tyran de mes desirs. - A la fin cette bergere. - Quelle est cette merveille. - Puis que l'Amour vainqueur. - Ne deliberons plus. - Je sers de l'oeil, du penser. - Je ne suis plus cette Junon. Récit du Ballet des Titeurs de buttes : - Delivrés des horreurs de Mars. Ballet du Monde Renversé : - D'où sort cette grande clairté. - Il sort de nos corps. Récit : - Vous qui n'allegés point. - En aprochant le bord. - Paisible tenebreuse nuit / Mouliné - Soleils, astres puissans. - Rochers affreux, vous ô Bois. - Ondes qui souslevez vos voûtes vagabondes. - Esprits autre-fois amoureux. Adresse : Paris : P. Ballard, 1624 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Rés Vm7 277/F-Pn Musique/ Rés Vm7 277 [ 6] Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4166 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7926 NUM ANO 38 document numérique Bibliothèque du CMBV Espace Numérique Consultable sur place
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