Titre : |
Recueil d'airs sérieux et à boire de différents auteurs pour l'année 1697 |
Type de document : |
PARTITIONS |
Editeur : |
Paris : Christophe Ballard |
Année de publication : |
1697 |
Oeuvres / Expressions : |
ANTHOLOGIE. - Airs sérieux et à boire. 1697
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Importance : |
241 p. |
Catégories : |
Mots-clés air à boire ; air sérieux Lieux concernés France Période concernée 17e siècle Titre significatif musique A force de rasades ; Absent des beaux yeux de Lizette ; Ah ! qu'il est fâcheux d'être absent ; Ah ! que ce repas est charmant ; Ah ! rendez-vous, Iris ; Ah ! si dans quelque cabaret ; Ah laissez moi rêver ; Ah, que ma maîtresse est aimable ! ; Aimable objet d'une flamme innocente ; Aimons buvons ; Allons accourez tous ; Amants favorisés des Cieux ; Amis, chez le voisin Rousseau ; Amis, que dans mon coeur, je sens d'aimables feux ; Amis, si vous voulez m'en croire ; Amour cruel amour ; Amour, mon aimable Vainqueur ; Amour, qu'il est doux de te suivre ! ; Après une extrême rigueur ; Au point du jour notre voisin ; Au retour du printemps tous les enfants de Mars ; Avant que d'aimer Lisette ; Avec l'aimable Iris et du vin de Champagne ; Avoir tous les appas de l'aimable jeunesse ; Beaux yeux que je n'ai pu quitter ; Bois charmant, aimable bocages ; Buvons beaucoup, aimons peu ; C'est dans ce bois que l'autre jour ; C'est être sâge d'être volage ; C'est vainement que l'on fait résistance ; Chaque saison comble mes voeux de gloire ; Climène, l'autre jour, ayant bû de bon vin ; Comme l'Automne ; D'aimables chaînes ; D'un oeil indifférent tu vois coûler mes pleurs ; D'une paix éternelle ; Depuis l'heureux retour des Fleurs et des Zéphirs ; Depuis que mon berger n'est plus pour moi fidèle ; En vain je vous attends, douce et chère espérance ; Enfin, la paix dissipe nos alarmes ; Enfin, nos voeux sons satisfaits ; Entre l'Amour et la bouteille ; Foin de l'hiver et de Fanchon ; Hâtez-vous de m'aimer, adorable Sylvie ; Il faudrait rire avec Catin ; Il n'est rien de si doux, que de plaire à Sylvie ; Impitoyable Climène ; Iris, puisque tu veux toujours être cruelle ; Ja jeunesse, l'Amour et la saison nouvelle ; Jamais Iris ne me parait si belle ; Je cherche à vous toucher ; Je gardais mes troupeaux au bord d'une fontaine ; Je n'aime plus, grâce à ma pinte ; Je n'avais jamais été tendre ; Je vois la jeune Iris, elle est aimable et belle ; L'Amour brille dans vos yeux ; L'Amour pleurant sur la verdure ; L'Amour te veut joint de partage ; L'epouse la plus belle ; L'hiver qui vient de jour en jour ; La guerre interrompt vos amours ; La liberté règne chez nous ; Le cabaret est mon réduit ; Le coeur de Philis se dégage ; Le doux printemps et les zéphirs ; Le Zéphir, messager de l'aimable printemps ; Les frimats ont cessé, le printemps va paraître ; Les yeux et la bouche d'Iris ; Loin de mon amant volage ; Lorsque dans un repas je suis sans ma maîtresse ; Lorsque l'Amour veut nous surprendre ; Ma liberté m'enchante ; Mais, hélas ! où peut-on rencontrer les amants ? ; Malheureux que je suis ; Mon bonheur était extrême ; Moutons chéris d'une fière bergère ; Ne me reprochez point qu'une humeur inquiète ; Non, je n'aime que mon berger ; Non, non, je n'aime plus Bacchus ni sa liqueur ; Non, rien n'est comparable ; Nos bois ont perdu leur feuillage ; On dit que quand j'ai bû je suis comme une bête ; ON VIT UN JOUR UNE CRUELLE GUERRE ; Par ma figué, mon cher compère ; Par tout où Climène ; Partez, soupirs, pour celle que j'adore ; Persécuté du sort, méprisé de Sylvie ; Peut-on s'empêcher d'aimer ? ; Plusieurs couplets sur le R. de la Foire de Bezon ; Pour jouir de ses amourettes ; Pourquoi ne veut-on pas que l'Amour et le Vin ; Pourquoi, si vous m'aimez, vous efforcez à feindre ? ; Prenons tous le panier, la hotte et la serpette ; Printemps qui change tout dans ce bocage ; Qu'à bien boire chacun s'apprête ; Qu'attendez-vous, Iris, pour vous rendre traitable ? ; Qu'on est heureux ! ; Qu'on ne me dise plus que c'est la seule absence ; Quand je bois à ma belle ; Quand tout en ces moments goute une paix profonde ; Que le cabaret a d'appas ; Que ma maîtresse est adorable ! ; Que votre chant est tendre ! ; Qui veut acheter un Coucou ; Quittons l'Amour, il n'y faut plus songer ; Quoi ? pauvre amant, tu languis nuit et jour ; Quoi vous prétendez toujours chanter votre tendres amours ? ; Régnez, hiver, régnez dans ces climats ; Rendez-vous, jeune Iris, à mon ardeur extrême ; Rossignols amoureux, votre tendre ramage ; Sans les connaître ; Se taira-t-on là haut ? ; Si mon rival était le vin ; Tant de douceur et tant d'amour ; Tircis, quoique l'Amour soit sans charmes pour moi ; Tous les soins que je prends pour toucher votre coeur ; Tout est paisible enfin, la guerrière Bellonne ; Tout parle en ces lieux de mes peines ; Trésor humide et précieux ; Trop éclatante Aurore hélas ? ; Tu m'as promis, mon Isabeau ; Un amant trop timide ; Une fièvre brûlante ; Vin vieux, retirez-vous ; Vive Louis, la paix est faite ; Voici le seul moyen de guérir de l'Amour ; Vos mépris, vos rigueurs, et votre longue absence ; Vous dites, belle Climène ; Vous me désespérez de vanter chaque jour ; Vous qui connaissez mon martyre
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Note de contenu : |
Provenance : Paris : BnF : Vm7 530. |
Adresse : |
Paris : Christophe Ballard, 1697 |
Permalink : |
https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=12592 |
Recueil d'airs sérieux et à boire de différents auteurs pour l'année 1697 [PARTITIONS] . - Paris : Christophe Ballard, 1697 . - 241 p. Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs sérieux et à boire. 1697
Catégories : |
Mots-clés air à boire ; air sérieux Lieux concernés France Période concernée 17e siècle Titre significatif musique A force de rasades ; Absent des beaux yeux de Lizette ; Ah ! qu'il est fâcheux d'être absent ; Ah ! que ce repas est charmant ; Ah ! rendez-vous, Iris ; Ah ! si dans quelque cabaret ; Ah laissez moi rêver ; Ah, que ma maîtresse est aimable ! ; Aimable objet d'une flamme innocente ; Aimons buvons ; Allons accourez tous ; Amants favorisés des Cieux ; Amis, chez le voisin Rousseau ; Amis, que dans mon coeur, je sens d'aimables feux ; Amis, si vous voulez m'en croire ; Amour cruel amour ; Amour, mon aimable Vainqueur ; Amour, qu'il est doux de te suivre ! ; Après une extrême rigueur ; Au point du jour notre voisin ; Au retour du printemps tous les enfants de Mars ; Avant que d'aimer Lisette ; Avec l'aimable Iris et du vin de Champagne ; Avoir tous les appas de l'aimable jeunesse ; Beaux yeux que je n'ai pu quitter ; Bois charmant, aimable bocages ; Buvons beaucoup, aimons peu ; C'est dans ce bois que l'autre jour ; C'est être sâge d'être volage ; C'est vainement que l'on fait résistance ; Chaque saison comble mes voeux de gloire ; Climène, l'autre jour, ayant bû de bon vin ; Comme l'Automne ; D'aimables chaînes ; D'un oeil indifférent tu vois coûler mes pleurs ; D'une paix éternelle ; Depuis l'heureux retour des Fleurs et des Zéphirs ; Depuis que mon berger n'est plus pour moi fidèle ; En vain je vous attends, douce et chère espérance ; Enfin, la paix dissipe nos alarmes ; Enfin, nos voeux sons satisfaits ; Entre l'Amour et la bouteille ; Foin de l'hiver et de Fanchon ; Hâtez-vous de m'aimer, adorable Sylvie ; Il faudrait rire avec Catin ; Il n'est rien de si doux, que de plaire à Sylvie ; Impitoyable Climène ; Iris, puisque tu veux toujours être cruelle ; Ja jeunesse, l'Amour et la saison nouvelle ; Jamais Iris ne me parait si belle ; Je cherche à vous toucher ; Je gardais mes troupeaux au bord d'une fontaine ; Je n'aime plus, grâce à ma pinte ; Je n'avais jamais été tendre ; Je vois la jeune Iris, elle est aimable et belle ; L'Amour brille dans vos yeux ; L'Amour pleurant sur la verdure ; L'Amour te veut joint de partage ; L'epouse la plus belle ; L'hiver qui vient de jour en jour ; La guerre interrompt vos amours ; La liberté règne chez nous ; Le cabaret est mon réduit ; Le coeur de Philis se dégage ; Le doux printemps et les zéphirs ; Le Zéphir, messager de l'aimable printemps ; Les frimats ont cessé, le printemps va paraître ; Les yeux et la bouche d'Iris ; Loin de mon amant volage ; Lorsque dans un repas je suis sans ma maîtresse ; Lorsque l'Amour veut nous surprendre ; Ma liberté m'enchante ; Mais, hélas ! où peut-on rencontrer les amants ? ; Malheureux que je suis ; Mon bonheur était extrême ; Moutons chéris d'une fière bergère ; Ne me reprochez point qu'une humeur inquiète ; Non, je n'aime que mon berger ; Non, non, je n'aime plus Bacchus ni sa liqueur ; Non, rien n'est comparable ; Nos bois ont perdu leur feuillage ; On dit que quand j'ai bû je suis comme une bête ; ON VIT UN JOUR UNE CRUELLE GUERRE ; Par ma figué, mon cher compère ; Par tout où Climène ; Partez, soupirs, pour celle que j'adore ; Persécuté du sort, méprisé de Sylvie ; Peut-on s'empêcher d'aimer ? ; Plusieurs couplets sur le R. de la Foire de Bezon ; Pour jouir de ses amourettes ; Pourquoi ne veut-on pas que l'Amour et le Vin ; Pourquoi, si vous m'aimez, vous efforcez à feindre ? ; Prenons tous le panier, la hotte et la serpette ; Printemps qui change tout dans ce bocage ; Qu'à bien boire chacun s'apprête ; Qu'attendez-vous, Iris, pour vous rendre traitable ? ; Qu'on est heureux ! ; Qu'on ne me dise plus que c'est la seule absence ; Quand je bois à ma belle ; Quand tout en ces moments goute une paix profonde ; Que le cabaret a d'appas ; Que ma maîtresse est adorable ! ; Que votre chant est tendre ! ; Qui veut acheter un Coucou ; Quittons l'Amour, il n'y faut plus songer ; Quoi ? pauvre amant, tu languis nuit et jour ; Quoi vous prétendez toujours chanter votre tendres amours ? ; Régnez, hiver, régnez dans ces climats ; Rendez-vous, jeune Iris, à mon ardeur extrême ; Rossignols amoureux, votre tendre ramage ; Sans les connaître ; Se taira-t-on là haut ? ; Si mon rival était le vin ; Tant de douceur et tant d'amour ; Tircis, quoique l'Amour soit sans charmes pour moi ; Tous les soins que je prends pour toucher votre coeur ; Tout est paisible enfin, la guerrière Bellonne ; Tout parle en ces lieux de mes peines ; Trésor humide et précieux ; Trop éclatante Aurore hélas ? ; Tu m'as promis, mon Isabeau ; Un amant trop timide ; Une fièvre brûlante ; Vin vieux, retirez-vous ; Vive Louis, la paix est faite ; Voici le seul moyen de guérir de l'Amour ; Vos mépris, vos rigueurs, et votre longue absence ; Vous dites, belle Climène ; Vous me désespérez de vanter chaque jour ; Vous qui connaissez mon martyre
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Note de contenu : |
Provenance : Paris : BnF : Vm7 530. |
Adresse : |
Paris : Christophe Ballard, 1697 |
Permalink : |
https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=12592 |
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