Titre : |
recueil d'airs sérieux et à boire de différents autheurs pour l'année 1695 |
Type de document : |
PARTITIONS |
Editeur : |
Paris : Christophe Ballard |
Oeuvres / Expressions : |
ANTHOLOGIE. - Airs sérieux et à boire. 1695
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Importance : |
242 p. |
Catégories : |
Mots-clés air à boire ; air sérieux Lieux concernés France Période concernée 17e siècle Titre significatif musique A boire, à boire à Carin ; A la tendre jeunesse ; Agréables bocages ; Ah ! Du moins, laissez moi me plaindre ! ; Ah ! Ne dégageons point nos âmes ; Ah ! que la paresseuse Automne ; Ah ! que votre tranquillité ; Ah ! vous ne voulez pas entendre ; Aimable Iris, nos bois sont déja verts ; Alloyou succulent, tendre objet de mes voeux ; Amaryllis enfin abandonne ces lieux ; Amis, buvons nuit et jour ; Amis, cherchons un hermitage ; Au doux bruit d'une fontaine ; Avec le vin on fait merveille ; Bacchus m'a consolé des rigueurs de Climène ; Bacchus m'allait guérir un jour ; Beau séjour aimables bois ; Bien que l'Amour nous cause des alarmes ; Boute va, la tasse en main ; Buvons à Guillot l'aîné ; C'est assez de Bacchus respecter la mémoire ; C'est trop contraindre, Iris, votre volage humeur ; Ce vin qu'on nous verse à la ronde ; Celle qui fait tout mon tourment ; Cessons pour quelque temps d'aimer ; Charmant repos, heureuse liberté ; Chers amis, quel abondance ! ; Chers Enfants de Bacchus dont le coeur est tranquille ; Comme une hirondelle en hiver ; Compagnons de Bacchus qui méprisez la guerre ; Croyez-vous n'être aimable ; Dans les plus doux transports d'une flamme nouvelle ; Dans nos champs le doux Printemps ; De mes soupirs, de ma langueur ; De Phébus la cruelle absence ; Efface de nos coeurs les traits d'une infidèle ; En dormant ce matin ; En secret je vous adore ; En vain pour essuyer mes larmes ; Enfin dégagé de ma chaîne ; Entre la cave et la cuisine ; Entre le vin et ma maîtresse ; Heureux un coeur tendre et fidèle ; Il n'est rien de si doux que le jus de nos treilles ; Iris me paraissait si tendre et si fidèle ; Iris veut faire une nouveau choix ; J'AI DIT CENT FOIS A MA BERGERE ; J'ai quitté mes motons, mon chien et ma houlette ; J'ai quitté Philis pour jamais ; J'ai surpris l'Amour à boire ; Je meurs, je me désespère ; Je rêvais l'autre nuit que je faisais grand chère ; Je sais que Cupidon ce petit téméraire ; Je serais, aimable Bergère ; Je veux me faire un Cabinet charmant ; Je vois tous les plaisirs au fond de ma bouteille ; Jeune beauté qui ne saurait comprendre ; L'Hiver ramène enfin mon amant glorieux ; L'on ne sait dans notre village ; La Pipe que je tiens peut m'imposer la loi ; La saison des beaux jours, l'agréable verdure ; Laissez, mes tristes yeux, laissez couler mes larmes ; Laisson courir les Héros à la gloire ; Le bon vin chasse le chagrin ; Les beaux jours et l'Amour sont revenus ensemble ; Lorsque je soupire Climène ; Lorsque l'hiver par son ravage ; Lorsque Tircis me laisse seule ici ; Malgré cette humide saison ; Malgré votre humeur sévère ; Me plaindrais-je toujours, Amour, sous ton empire ; Morgué, Margot, t'es par trop incommode ; N'espérez pas que la nouvelle Automne ; Ne quittons point nos bois où sans inquiétude ; On cèle un ardeur quoi qu'extrême ; Petits oiseaux dont les chants amoureux ; Petits oiseaux qui chantez vos plaisirs ; Point de parole sans effet ; Pour charmer l'ennuie de mon coeur ; Pour vaincre la raison de la fière Climène ; Pour vous, je ne saurais avoir ; Pourquoi différer ? Aimons-nous ; Pourquoi dissimuler ma tristesse mortelle ; Printemps, des saisons la plus belle ; Profitez donc mieux des douceurs ; Qu'on est à plaindre dans l'Empire amoureux ! ; Qu'on ne me parle plus désormais que de belles ; Quand on aime bien tendrement ; Que chacun à son gré dispute des saisons ; Que l'hiver à son gré désole la nature ; QUE NOUS VOYONS DE FLEURS ; Qui m'oblige à feindre mon mal ? ; Qui souffre les soins d'un amant ; Ruisseau, vous murmurez, qu'avez-vous à vous plaindre ? ; Sans Bacchus ou sans amour ; Si mon esprit quittant ma tête ; Si quelqu'un vous disait, Iris, que je vous aime ; Si tu crains qu'une beauté ; Si vous m'aviez aimé, vous m'aimeriez encore ; Si vous voulez qu'une ardeur mutuelle ; Sombres forêts, aimbles lieux ! ; Souffrez les amours, aimable Iris ; Souffrons, c'est l'Amour qui le veut ; Soutenons, Belle Iris, nos amoureux désirs ; Tircis, je le connais, vous n'êtes point sincère ; Tu te plains que l'Amour t'éveille ; Tu te plais, jeune Iris, à voir rougir ma trogne ; Un généreux Héros, par ses faits redoutables ; Un jour l'Amour de petit obstiné ; Un petit doigt, Iris, pour commencer la fête ; Un peu de vin dans la tête ; Un respect mêlé de crainte ; Versez-moi, chers amis, à boire ; Viens Bacchus, vien guérir ; Vous chantez d'un air si touchant ; Vous m'avez appris à bien boire ; Vous m'inspirez mille langueurs secretes ; Vous n'êtes par heureuse ; Vous ne savez que trop rendre un coeur infidèle ; Vous que l'Amour fait languir dans ses chaînes ; Vous savez bien, jeune Sylvie
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Note de contenu : |
Provenance : Paris : BnF : Vm7 528. |
Adresse : |
Paris : Christophe Ballard, 1695 |
Provenance (cote source) : |
F-Pn Musique/ Vm7 528 |
Permalink : |
https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=12590 |
recueil d'airs sérieux et à boire de différents autheurs pour l'année 1695 [PARTITIONS] . - Paris : Christophe Ballard, [s.d.] . - 242 p. Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs sérieux et à boire. 1695
Catégories : |
Mots-clés air à boire ; air sérieux Lieux concernés France Période concernée 17e siècle Titre significatif musique A boire, à boire à Carin ; A la tendre jeunesse ; Agréables bocages ; Ah ! Du moins, laissez moi me plaindre ! ; Ah ! Ne dégageons point nos âmes ; Ah ! que la paresseuse Automne ; Ah ! que votre tranquillité ; Ah ! vous ne voulez pas entendre ; Aimable Iris, nos bois sont déja verts ; Alloyou succulent, tendre objet de mes voeux ; Amaryllis enfin abandonne ces lieux ; Amis, buvons nuit et jour ; Amis, cherchons un hermitage ; Au doux bruit d'une fontaine ; Avec le vin on fait merveille ; Bacchus m'a consolé des rigueurs de Climène ; Bacchus m'allait guérir un jour ; Beau séjour aimables bois ; Bien que l'Amour nous cause des alarmes ; Boute va, la tasse en main ; Buvons à Guillot l'aîné ; C'est assez de Bacchus respecter la mémoire ; C'est trop contraindre, Iris, votre volage humeur ; Ce vin qu'on nous verse à la ronde ; Celle qui fait tout mon tourment ; Cessons pour quelque temps d'aimer ; Charmant repos, heureuse liberté ; Chers amis, quel abondance ! ; Chers Enfants de Bacchus dont le coeur est tranquille ; Comme une hirondelle en hiver ; Compagnons de Bacchus qui méprisez la guerre ; Croyez-vous n'être aimable ; Dans les plus doux transports d'une flamme nouvelle ; Dans nos champs le doux Printemps ; De mes soupirs, de ma langueur ; De Phébus la cruelle absence ; Efface de nos coeurs les traits d'une infidèle ; En dormant ce matin ; En secret je vous adore ; En vain pour essuyer mes larmes ; Enfin dégagé de ma chaîne ; Entre la cave et la cuisine ; Entre le vin et ma maîtresse ; Heureux un coeur tendre et fidèle ; Il n'est rien de si doux que le jus de nos treilles ; Iris me paraissait si tendre et si fidèle ; Iris veut faire une nouveau choix ; J'AI DIT CENT FOIS A MA BERGERE ; J'ai quitté mes motons, mon chien et ma houlette ; J'ai quitté Philis pour jamais ; J'ai surpris l'Amour à boire ; Je meurs, je me désespère ; Je rêvais l'autre nuit que je faisais grand chère ; Je sais que Cupidon ce petit téméraire ; Je serais, aimable Bergère ; Je veux me faire un Cabinet charmant ; Je vois tous les plaisirs au fond de ma bouteille ; Jeune beauté qui ne saurait comprendre ; L'Hiver ramène enfin mon amant glorieux ; L'on ne sait dans notre village ; La Pipe que je tiens peut m'imposer la loi ; La saison des beaux jours, l'agréable verdure ; Laissez, mes tristes yeux, laissez couler mes larmes ; Laisson courir les Héros à la gloire ; Le bon vin chasse le chagrin ; Les beaux jours et l'Amour sont revenus ensemble ; Lorsque je soupire Climène ; Lorsque l'hiver par son ravage ; Lorsque Tircis me laisse seule ici ; Malgré cette humide saison ; Malgré votre humeur sévère ; Me plaindrais-je toujours, Amour, sous ton empire ; Morgué, Margot, t'es par trop incommode ; N'espérez pas que la nouvelle Automne ; Ne quittons point nos bois où sans inquiétude ; On cèle un ardeur quoi qu'extrême ; Petits oiseaux dont les chants amoureux ; Petits oiseaux qui chantez vos plaisirs ; Point de parole sans effet ; Pour charmer l'ennuie de mon coeur ; Pour vaincre la raison de la fière Climène ; Pour vous, je ne saurais avoir ; Pourquoi différer ? Aimons-nous ; Pourquoi dissimuler ma tristesse mortelle ; Printemps, des saisons la plus belle ; Profitez donc mieux des douceurs ; Qu'on est à plaindre dans l'Empire amoureux ! ; Qu'on ne me parle plus désormais que de belles ; Quand on aime bien tendrement ; Que chacun à son gré dispute des saisons ; Que l'hiver à son gré désole la nature ; QUE NOUS VOYONS DE FLEURS ; Qui m'oblige à feindre mon mal ? ; Qui souffre les soins d'un amant ; Ruisseau, vous murmurez, qu'avez-vous à vous plaindre ? ; Sans Bacchus ou sans amour ; Si mon esprit quittant ma tête ; Si quelqu'un vous disait, Iris, que je vous aime ; Si tu crains qu'une beauté ; Si vous m'aviez aimé, vous m'aimeriez encore ; Si vous voulez qu'une ardeur mutuelle ; Sombres forêts, aimbles lieux ! ; Souffrez les amours, aimable Iris ; Souffrons, c'est l'Amour qui le veut ; Soutenons, Belle Iris, nos amoureux désirs ; Tircis, je le connais, vous n'êtes point sincère ; Tu te plains que l'Amour t'éveille ; Tu te plais, jeune Iris, à voir rougir ma trogne ; Un généreux Héros, par ses faits redoutables ; Un jour l'Amour de petit obstiné ; Un petit doigt, Iris, pour commencer la fête ; Un peu de vin dans la tête ; Un respect mêlé de crainte ; Versez-moi, chers amis, à boire ; Viens Bacchus, vien guérir ; Vous chantez d'un air si touchant ; Vous m'avez appris à bien boire ; Vous m'inspirez mille langueurs secretes ; Vous n'êtes par heureuse ; Vous ne savez que trop rendre un coeur infidèle ; Vous que l'Amour fait languir dans ses chaînes ; Vous savez bien, jeune Sylvie
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Note de contenu : |
Provenance : Paris : BnF : Vm7 528. |
Adresse : |
Paris : Christophe Ballard, 1695 |
Provenance (cote source) : |
F-Pn Musique/ Vm7 528 |
Permalink : |
https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=12590 |
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