Catalogue de la bibliothèque du Centre de musique baroque de Versailles
Catégories
Documents disponibles dans cette catégorie (3)
Affiner la recherche
Airs de cour : pour voix et luth : 1603-1643 / André VERCHALY
Titre : Airs de cour : pour voix et luth : 1603-1643 Type de document : PARTITIONS Auteurs : André VERCHALY, Editeur scientifique ; Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Jacques SALMON ; Gabriel BATAILLE ; Guillaume TESSIER ; Charles TESSIER ; Jacques MAUDUIT ; Jean de CASTRO ; Didier LE BLANC ; VINCENT ; Antoine BOESSET ; Joachim Thibaut de COURVILLE ; SAUVAGE ; Jacques LE FEVRE ; François LE FEGUEUX ; COFFIN ; Nicolas SIGNAC ; Paul AUGET ; Jean BOYER ; GRAND RUE ; Louis de RIGAUD ; Étienne MOULINIÉ ; Jean-Baptiste de BOESSET ; François de CHANCY ; François RICHARD ; Jean PLANSON Oeuvres / Expressions : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. 1 voix, luth. 1603-1643 Importance : 209 p. Catégories : Effectif général
1 voix, luth
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
Amants qui vous plaignez ; Amarillis je vais mourir ; Amarillis, bel astre de mes jours ; Amis enivrons-nous ; Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Amour victorieux ; Beauté dont les rigueurs ; Belle qui m'avez blessé ; Berger, que pensez vous faire ; Bien qu'un cruel martyre ; C'en est fait je ne verrai plus ; C'en est fait ma belle Amarante ; C'est un amant, ouvrez la porte ; Cessez amants de servir Angélique ; Cessez mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Cloris attends un peu ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Dans ce temple où ma passion ; De mes ans la fleur se déteint ; Des maux si déplorables ; Donc cette merveille des cieux ; Douce beauté ; Du plus doux de ses traits ; Eau vive source d'amour ; Enfin la beauté que j'adore ; Faut-il mourir sans espérance ; Ha ! que de tes conseils ; Heureux séjour de Parthénisse ; Ils s'en vont ces rois de ma vie ; Je hais les antres sauvages ; Je ne sais s'il vous souvient ; Je suis Amour ; Je suis ravi de mon Uranie ; Je voudrais bien changer ; La plus misérable amante ; La rosée du joli mois de mai ; Les charmants attraits de vos yeux ; Lors que tes beaux yeux ; Lorsque Léandre amoureux ; Ma bergere Non légere ; Médor se mirant aux beaux yeux ; Mourons Tirsis ; N'emprisonnez pas je vous pris ; N'espérez plus mes yeux ; Ne délibérons plus ; O beau laurier ; Objet dont les charmes si doux ; Outré par la douleur ; Paisible et ténébreuse nuit ; Patoureau m'aimes-tu bien ; Petit sein où l'Amour ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Pressé d'ennuis ; Puisqu'en vous adorant ; Puisqu'il faut désormais ; Puisque Doris ; Que d'épines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que douce est la violence ; Que n'êtes vous lassées ; Que Philis a l'esprit léger ; Que servent tes conseils ; Quel excès de douleur ; Qui prêtera la parole ; Qui veut chasser migraine ; Quoique l'on puisse me dire ; Respects qui me donnez la loi ; Rigoureux souvenir d'une joie passée ; Rosette pour un peu d'absence ; Ruisseau qui cours ; Si jamais mon âme blessée ; Si je languis d'un martyre ; Soit que l'oeil pourveu ; Sombres forêts, noires vallées ; Sont-ce dards ou regards ; Sortez soupirs ; Sous la fraicheur d'un vert bocage ; Un jour Amarille et Tirsis ; Un jour l'amoureuse Sylvie ; Un satyre cornu ; Voici le temps bergèreRésumé : édition scientifique recueil Note de contenu : Index des compositeurs, des poètes et des airs.
- AUGET (Paul) : Les charmants attraits de vos yeux
- BATAILLE (Gabriel) : Amour victorieux ; C'en est fait ma belle Amarante ; Je ne sçay s'il vous souvient ; Ma bergere Non légere ; Que douce est la violence ; Qui veut chasser une migraine ; Sortés soupirs ; Sous la fraicheur d'un verd bocage ; Un satire cornu
- BOESSET (Antoine): Amarillis, bel astre de mes jours ; Beauté dont les rigueurs ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce temple où ma passion ; Du plus doux de ses traits ; Heureux séjour de Partenisse ; Ils s'en vont ces roys de ma vie ; Mourons Tirsis ; Ne délibérons plus ; N'espérez plus mes yeux ; Objet dont les charmes si doux ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Que d'espines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que servent tes conseilz ; Si c'est un crime que l'aymer ; Un jour Amarille et Tirsis
- BOESSET (Jean-Baptiste) : Que Philis a l'esprit léger
- BOYER (Jean) : Rigoureux souvenir d'une joye passée ; Sombres forests, noires vallées
- CASTRO (Jean de) : Patoureau m'ayme tu bien
- CHANCY (François de) : Faut-il mourir sans espérance
- COFFIN : Je suis Amour
- COURVILLE (J. Thibaut de): Si je languis d'un martire incongneu ; Sont-ce dards ou regards
- GRAND-RUE : Lors que tes beaux yeux mignonne
- GUEDRON (Pierre) : Belle qui m'avés blessé ; Berger, que pensés vous faire ; Bien qu'un cruel martire ; C'en est fait je ne verray plus ; Cessés mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Donc ceste merveille des cieux ; Je voudrois bien changer ; Karite de qui le bel oeil ; Lors que Léandre amoureux ; Puis qu'il faut désormais ; Quel exces de douleur ; Que n'estes vous lassées ; Quoy que l'on puisse me dire ; Si jamais mon ame blessée ; Un jour l'amoureuse Silvie ; Voicy le temps bergère
- LE BLANC (Didier) : Qui prestera la parole
- LE FEGUEUX (François) ; Petit sein où l'Amour
- LE FEVRE (Jacques) : N'emprisonnés pas je vous pris
- MAUDUIT (Jacques) : Eau vive source d'amour ; Soit que l'oeil pourveu
- MOULINIE (Etienne) : Amis enivrons-nous ; Cessez amants de servir Angélique ; Enfin la beauté que j'adore ; Je suis ravi de mon Uranie ; Paisible et ténébreuse nuit ; Puis que Doris ; Respects qui me donnez la loi
- PLANSON (Jean) : La rousée du joly mois de may
- RICHARD (François) : Amarillis je vays mourir ; Cloris attends un peu ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Ha! que de tes conseils
Puis que l'adorable Angélique ;
Ruisseau qui cours apres toy-mesme
- RIGAUD (Louis de) : Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Je hay les antres sauvages ; Outré par la douleur
- SALMON (Jacques) : O beau laurier
- SAUVAGE : Médor se mirant aux beaux yeux
- SIGNAC : Souvenir importun
- TESSIER (Charles) : La plus misérable amante
- TESSIER (Guillaume) : Amans qui vous plaignés ; Pressé d'ennuis
- VINCENT : J'ayme une fille de vilage ; Puis qu'en vous adorant
- ANONYMES : C'est un amant, ouvrez la porte ; De mes ans la fleur se desteint ; Des maux si déplorables ; Douce beauté
Ma belle si ton ame ; Rosette pour un peu d'absence
Adresse : Paris : Société Francaise de Musicologie : SEDIM, 1989 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11766 Airs de cour : pour voix et luth : 1603-1643 [PARTITIONS] / André VERCHALY, Editeur scientifique ; Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Jacques SALMON ; Gabriel BATAILLE ; Guillaume TESSIER ; Charles TESSIER ; Jacques MAUDUIT ; Jean de CASTRO ; Didier LE BLANC ; VINCENT ; Antoine BOESSET ; Joachim Thibaut de COURVILLE ; SAUVAGE ; Jacques LE FEVRE ; François LE FEGUEUX ; COFFIN ; Nicolas SIGNAC ; Paul AUGET ; Jean BOYER ; GRAND RUE ; Louis de RIGAUD ; Étienne MOULINIÉ ; Jean-Baptiste de BOESSET ; François de CHANCY ; François RICHARD ; Jean PLANSON . - [s.d.] . - 209 p.
Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. 1 voix, luth. 1603-1643
Catégories : Effectif général
1 voix, luth
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
Amants qui vous plaignez ; Amarillis je vais mourir ; Amarillis, bel astre de mes jours ; Amis enivrons-nous ; Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Amour victorieux ; Beauté dont les rigueurs ; Belle qui m'avez blessé ; Berger, que pensez vous faire ; Bien qu'un cruel martyre ; C'en est fait je ne verrai plus ; C'en est fait ma belle Amarante ; C'est un amant, ouvrez la porte ; Cessez amants de servir Angélique ; Cessez mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Cloris attends un peu ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Dans ce temple où ma passion ; De mes ans la fleur se déteint ; Des maux si déplorables ; Donc cette merveille des cieux ; Douce beauté ; Du plus doux de ses traits ; Eau vive source d'amour ; Enfin la beauté que j'adore ; Faut-il mourir sans espérance ; Ha ! que de tes conseils ; Heureux séjour de Parthénisse ; Ils s'en vont ces rois de ma vie ; Je hais les antres sauvages ; Je ne sais s'il vous souvient ; Je suis Amour ; Je suis ravi de mon Uranie ; Je voudrais bien changer ; La plus misérable amante ; La rosée du joli mois de mai ; Les charmants attraits de vos yeux ; Lors que tes beaux yeux ; Lorsque Léandre amoureux ; Ma bergere Non légere ; Médor se mirant aux beaux yeux ; Mourons Tirsis ; N'emprisonnez pas je vous pris ; N'espérez plus mes yeux ; Ne délibérons plus ; O beau laurier ; Objet dont les charmes si doux ; Outré par la douleur ; Paisible et ténébreuse nuit ; Patoureau m'aimes-tu bien ; Petit sein où l'Amour ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Pressé d'ennuis ; Puisqu'en vous adorant ; Puisqu'il faut désormais ; Puisque Doris ; Que d'épines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que douce est la violence ; Que n'êtes vous lassées ; Que Philis a l'esprit léger ; Que servent tes conseils ; Quel excès de douleur ; Qui prêtera la parole ; Qui veut chasser migraine ; Quoique l'on puisse me dire ; Respects qui me donnez la loi ; Rigoureux souvenir d'une joie passée ; Rosette pour un peu d'absence ; Ruisseau qui cours ; Si jamais mon âme blessée ; Si je languis d'un martyre ; Soit que l'oeil pourveu ; Sombres forêts, noires vallées ; Sont-ce dards ou regards ; Sortez soupirs ; Sous la fraicheur d'un vert bocage ; Un jour Amarille et Tirsis ; Un jour l'amoureuse Sylvie ; Un satyre cornu ; Voici le temps bergèreRésumé : édition scientifique recueil Note de contenu : Index des compositeurs, des poètes et des airs.
- AUGET (Paul) : Les charmants attraits de vos yeux
- BATAILLE (Gabriel) : Amour victorieux ; C'en est fait ma belle Amarante ; Je ne sçay s'il vous souvient ; Ma bergere Non légere ; Que douce est la violence ; Qui veut chasser une migraine ; Sortés soupirs ; Sous la fraicheur d'un verd bocage ; Un satire cornu
- BOESSET (Antoine): Amarillis, bel astre de mes jours ; Beauté dont les rigueurs ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce temple où ma passion ; Du plus doux de ses traits ; Heureux séjour de Partenisse ; Ils s'en vont ces roys de ma vie ; Mourons Tirsis ; Ne délibérons plus ; N'espérez plus mes yeux ; Objet dont les charmes si doux ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Que d'espines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que servent tes conseilz ; Si c'est un crime que l'aymer ; Un jour Amarille et Tirsis
- BOESSET (Jean-Baptiste) : Que Philis a l'esprit léger
- BOYER (Jean) : Rigoureux souvenir d'une joye passée ; Sombres forests, noires vallées
- CASTRO (Jean de) : Patoureau m'ayme tu bien
- CHANCY (François de) : Faut-il mourir sans espérance
- COFFIN : Je suis Amour
- COURVILLE (J. Thibaut de): Si je languis d'un martire incongneu ; Sont-ce dards ou regards
- GRAND-RUE : Lors que tes beaux yeux mignonne
- GUEDRON (Pierre) : Belle qui m'avés blessé ; Berger, que pensés vous faire ; Bien qu'un cruel martire ; C'en est fait je ne verray plus ; Cessés mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Donc ceste merveille des cieux ; Je voudrois bien changer ; Karite de qui le bel oeil ; Lors que Léandre amoureux ; Puis qu'il faut désormais ; Quel exces de douleur ; Que n'estes vous lassées ; Quoy que l'on puisse me dire ; Si jamais mon ame blessée ; Un jour l'amoureuse Silvie ; Voicy le temps bergère
- LE BLANC (Didier) : Qui prestera la parole
- LE FEGUEUX (François) ; Petit sein où l'Amour
- LE FEVRE (Jacques) : N'emprisonnés pas je vous pris
- MAUDUIT (Jacques) : Eau vive source d'amour ; Soit que l'oeil pourveu
- MOULINIE (Etienne) : Amis enivrons-nous ; Cessez amants de servir Angélique ; Enfin la beauté que j'adore ; Je suis ravi de mon Uranie ; Paisible et ténébreuse nuit ; Puis que Doris ; Respects qui me donnez la loi
- PLANSON (Jean) : La rousée du joly mois de may
- RICHARD (François) : Amarillis je vays mourir ; Cloris attends un peu ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Ha! que de tes conseils
Puis que l'adorable Angélique ;
Ruisseau qui cours apres toy-mesme
- RIGAUD (Louis de) : Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Je hay les antres sauvages ; Outré par la douleur
- SALMON (Jacques) : O beau laurier
- SAUVAGE : Médor se mirant aux beaux yeux
- SIGNAC : Souvenir importun
- TESSIER (Charles) : La plus misérable amante
- TESSIER (Guillaume) : Amans qui vous plaignés ; Pressé d'ennuis
- VINCENT : J'ayme une fille de vilage ; Puis qu'en vous adorant
- ANONYMES : C'est un amant, ouvrez la porte ; De mes ans la fleur se desteint ; Des maux si déplorables ; Douce beauté
Ma belle si ton ame ; Rosette pour un peu d'absence
Adresse : Paris : Société Francaise de Musicologie : SEDIM, 1989 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11766 Exemplaires(2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 308 MFV ANT 10 papier Bibliothèque du CMBV Salle de lecture Consultable sur place
Disponible308-1 MFV ANT 10 papier Bibliothèque du CMBV Salle de lecture Consultable sur place
Disponiblerecueil d'airs sérieux et à boire de différents auteurs pour l'année 1699 / Louis BOUTEILLER
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11821 NUM ANT 85 document numérique Bibliothèque du CMBV Espace Numérique Consultable sur place
Disponiblerecueil d'airs sérieux et à boire de différents auteurs pour l'année 1701
Titre : recueil d'airs sérieux et à boire de différents auteurs pour l'année 1701 Type de document : PARTITIONS Editeur : Paris : Christophe Ballard Oeuvres / Expressions : ANTHOLOGIE. - Airs sérieux et à boire. 1701 Importance : 240 p. Catégories : Mots-clés
air à boire ; air sérieux
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
A Force de bien boire ; A Manti che dite ; A quoi pensiez-vous Climene ; A regret je vois la Nature ; Ah ! j'entends que la Foudre gronde ; Ah ! morbleu, mon cher Voisin ; Ah ! que le Cabaret a de charmes pour moi ; Ah ! que nous sommes en repos ; Ah ! quelle voix je viens d'entendre ; Aimons, Bergers, soyons fidèles ; Amants qui vous plaignez ; Amants, pour qui l'Amour ; Amants, qu'un Jaloux inquiète ; Amis, après tant de langueurs ; Amis, jusqu'à la fin, il faut aimer la Table ; Après avoir blessé les Belles ; Ardire è speranza ; Arrêtez doux Printemps ; Au Jeu d'Amour, comme à Colin-Maillard ; Au temps heureux où règnait l'Innocence ; Aux yeux d'un Amant ; Beate mie piene ; Beaux Déserts, charmants Bocages ; C'en est fait, j'ai brisé ma chaîne ; Chasse l'ennui qui te possède ; Cher Objet de mes voeux, quel injustice devoir ! ; Comment voulez-vous que je chante ? ; Contre le chagrin ; Dans ce repos tout est aimable ; Dans la douleur qui me dévore ; Di gli, che l'amo ; Doux liens de mon coeur ; Doux plaisirs, doux transports ; Due labra di rose ; Eloigné des beaux yeux de l'aimable ; Enfin, au gré de mon envie ; Enfin, nous avons fait Vendange ; Espagnols et Français, puisque Mars ; Faut-il qu'un soupir vous offence ? ; Fuggite pensieri guerrieri ; Gazons, que j'ai vu si charmants ; Hélas ! fut-il jamais un Amant ; Hélas ! que cet adieu me va coûter ! ; Il n'est de mauvais temps ; In guerra d'Amore, Amanti guerrieri ; J'allais mourir, c'était fait de ma vie ; J'écoutais autrefois sous ces feuillages ; Je cherchais une Beauté touchante ; Je n'entends qu'à regret ; Je ne quitte jamais Bacchus ; L'Amour enchanté ; L'Amour trouble mon repos ; L'Espagne fut longtemps en pleur ; L'on observe par tout ; La Garonne n'a pas vu ; Laisse-moi ma raison ; Laissez gronder l'Amour volage ; Lassé des rigueurs de Climène ; Le bon vin dans un tête à tête ; Les Amants ont chanté le retour ; Louis de tous les Rois, le plus grand ; Ma Bergère est pleine de charmes ; Ma foi le mérite est un sot ; Malgré mon air badin ; Malgré tous les tourments ; Mille Amants, charmante Lisette ; Ne cherchez point à m'engager ; Non, je n'aurai jamais l'envie ; O nuit ! mille fois plus charmante ; Orphée, Adonis ; Parlez mes yeux, découvrez mon martyre ; Partons, ma Belle ; Petit-Fils du plus grand des Rois ; Plus de dépit, plus de querelle ; Point de quartier ; Pour aimer Celadon, il suffit qu'on l'entende ; Pour finir les tourments ; Pour m'engager à te donner mon coeur ; Pour me venger de l'ingrate Sylvie ; Pour rendre un coeur fidèle et tendre ; Puissant dieu du vin ; Pupille nere vi bacciero ; Qu'il est aimable mon Berger ; Qu'un généreux Guerrier ; Quand l'Amour attaque mon coeur ; QUAND MON MARI VIENT DE DEHORS ; Quand on est enchanté ; Quand on prend trop d'amour ; Que chacun à son gré se fasse des plaisirs ; Que l'Hymen et l'Amour ; Que l'Hymen rassemble ; Que l'on passe aisément de la mort à la vie ; Que la raison et le devoir ; Quoi ! tu te plains encore ; Quoi ! vous êtes partie ? ; Rien n'est égal au bonheur de ma vie ; Rien ne peut égaler le bonheur de ma vie ; Rossignol, qu'un tendre amour presse ; Sans amour et loin de la guerre ; Sans cesse votre Epoux vous gronde ; Senza te che fe' il mio bene ; Si c'est ainsi qu'on fait la guerre ; Suive qui voudra Bacchus ; T'as grand tort, gros Guillot ; Te te crois plus heureux ; Tircis, sous un épais feuillage ; Tu crains d'être avec moi seulette ; Vag he luci, è luci Belle ; Vive les Bords de la Garonne ; Vorrei scopir ti un di con la piaga del cor ; Vous voir, vous aimer, vous le direNote de contenu : Provenance : Paris : BnF : Vm7 534. Adresse : Paris : Christophe Ballard, 1701 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Vm7 534 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=12596 recueil d'airs sérieux et à boire de différents auteurs pour l'année 1701 [PARTITIONS] . - Paris : Christophe Ballard, [s.d.] . - 240 p.
Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs sérieux et à boire. 1701
Catégories : Mots-clés
air à boire ; air sérieux
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
A Force de bien boire ; A Manti che dite ; A quoi pensiez-vous Climene ; A regret je vois la Nature ; Ah ! j'entends que la Foudre gronde ; Ah ! morbleu, mon cher Voisin ; Ah ! que le Cabaret a de charmes pour moi ; Ah ! que nous sommes en repos ; Ah ! quelle voix je viens d'entendre ; Aimons, Bergers, soyons fidèles ; Amants qui vous plaignez ; Amants, pour qui l'Amour ; Amants, qu'un Jaloux inquiète ; Amis, après tant de langueurs ; Amis, jusqu'à la fin, il faut aimer la Table ; Après avoir blessé les Belles ; Ardire è speranza ; Arrêtez doux Printemps ; Au Jeu d'Amour, comme à Colin-Maillard ; Au temps heureux où règnait l'Innocence ; Aux yeux d'un Amant ; Beate mie piene ; Beaux Déserts, charmants Bocages ; C'en est fait, j'ai brisé ma chaîne ; Chasse l'ennui qui te possède ; Cher Objet de mes voeux, quel injustice devoir ! ; Comment voulez-vous que je chante ? ; Contre le chagrin ; Dans ce repos tout est aimable ; Dans la douleur qui me dévore ; Di gli, che l'amo ; Doux liens de mon coeur ; Doux plaisirs, doux transports ; Due labra di rose ; Eloigné des beaux yeux de l'aimable ; Enfin, au gré de mon envie ; Enfin, nous avons fait Vendange ; Espagnols et Français, puisque Mars ; Faut-il qu'un soupir vous offence ? ; Fuggite pensieri guerrieri ; Gazons, que j'ai vu si charmants ; Hélas ! fut-il jamais un Amant ; Hélas ! que cet adieu me va coûter ! ; Il n'est de mauvais temps ; In guerra d'Amore, Amanti guerrieri ; J'allais mourir, c'était fait de ma vie ; J'écoutais autrefois sous ces feuillages ; Je cherchais une Beauté touchante ; Je n'entends qu'à regret ; Je ne quitte jamais Bacchus ; L'Amour enchanté ; L'Amour trouble mon repos ; L'Espagne fut longtemps en pleur ; L'on observe par tout ; La Garonne n'a pas vu ; Laisse-moi ma raison ; Laissez gronder l'Amour volage ; Lassé des rigueurs de Climène ; Le bon vin dans un tête à tête ; Les Amants ont chanté le retour ; Louis de tous les Rois, le plus grand ; Ma Bergère est pleine de charmes ; Ma foi le mérite est un sot ; Malgré mon air badin ; Malgré tous les tourments ; Mille Amants, charmante Lisette ; Ne cherchez point à m'engager ; Non, je n'aurai jamais l'envie ; O nuit ! mille fois plus charmante ; Orphée, Adonis ; Parlez mes yeux, découvrez mon martyre ; Partons, ma Belle ; Petit-Fils du plus grand des Rois ; Plus de dépit, plus de querelle ; Point de quartier ; Pour aimer Celadon, il suffit qu'on l'entende ; Pour finir les tourments ; Pour m'engager à te donner mon coeur ; Pour me venger de l'ingrate Sylvie ; Pour rendre un coeur fidèle et tendre ; Puissant dieu du vin ; Pupille nere vi bacciero ; Qu'il est aimable mon Berger ; Qu'un généreux Guerrier ; Quand l'Amour attaque mon coeur ; QUAND MON MARI VIENT DE DEHORS ; Quand on est enchanté ; Quand on prend trop d'amour ; Que chacun à son gré se fasse des plaisirs ; Que l'Hymen et l'Amour ; Que l'Hymen rassemble ; Que l'on passe aisément de la mort à la vie ; Que la raison et le devoir ; Quoi ! tu te plains encore ; Quoi ! vous êtes partie ? ; Rien n'est égal au bonheur de ma vie ; Rien ne peut égaler le bonheur de ma vie ; Rossignol, qu'un tendre amour presse ; Sans amour et loin de la guerre ; Sans cesse votre Epoux vous gronde ; Senza te che fe' il mio bene ; Si c'est ainsi qu'on fait la guerre ; Suive qui voudra Bacchus ; T'as grand tort, gros Guillot ; Te te crois plus heureux ; Tircis, sous un épais feuillage ; Tu crains d'être avec moi seulette ; Vag he luci, è luci Belle ; Vive les Bords de la Garonne ; Vorrei scopir ti un di con la piaga del cor ; Vous voir, vous aimer, vous le direNote de contenu : Provenance : Paris : BnF : Vm7 534. Adresse : Paris : Christophe Ballard, 1701 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Vm7 534 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=12596 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11823 NUM ANT 85 document numérique Bibliothèque du CMBV Espace Numérique Consultable sur place
Disponible