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Airs de cour : pour voix et luth : 1603-1643 / André VERCHALY
Titre : Airs de cour : pour voix et luth : 1603-1643 Type de document : PARTITIONS Auteurs : André VERCHALY, Editeur scientifique ; Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Jacques SALMON ; Gabriel BATAILLE ; Guillaume TESSIER ; Charles TESSIER ; Jacques MAUDUIT ; Jean de CASTRO ; Didier LE BLANC ; VINCENT ; Antoine BOESSET ; Joachim Thibaut de COURVILLE ; SAUVAGE ; Jacques LE FEVRE ; François LE FEGUEUX ; COFFIN ; Nicolas SIGNAC ; Paul AUGET ; Jean BOYER ; GRAND RUE ; Louis de RIGAUD ; Étienne MOULINIÉ ; Jean-Baptiste de BOESSET ; François de CHANCY ; François RICHARD ; Jean PLANSON Oeuvres / Expressions : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. 1 voix, luth. 1603-1643 Importance : 209 p. Catégories : Effectif général
1 voix, luth
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
Amants qui vous plaignez ; Amarillis je vais mourir ; Amarillis, bel astre de mes jours ; Amis enivrons-nous ; Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Amour victorieux ; Beauté dont les rigueurs ; Belle qui m'avez blessé ; Berger, que pensez vous faire ; Bien qu'un cruel martyre ; C'en est fait je ne verrai plus ; C'en est fait ma belle Amarante ; C'est un amant, ouvrez la porte ; Cessez amants de servir Angélique ; Cessez mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Cloris attends un peu ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Dans ce temple où ma passion ; De mes ans la fleur se déteint ; Des maux si déplorables ; Donc cette merveille des cieux ; Douce beauté ; Du plus doux de ses traits ; Eau vive source d'amour ; Enfin la beauté que j'adore ; Faut-il mourir sans espérance ; Ha ! que de tes conseils ; Heureux séjour de Parthénisse ; Ils s'en vont ces rois de ma vie ; Je hais les antres sauvages ; Je ne sais s'il vous souvient ; Je suis Amour ; Je suis ravi de mon Uranie ; Je voudrais bien changer ; La plus misérable amante ; La rosée du joli mois de mai ; Les charmants attraits de vos yeux ; Lors que tes beaux yeux ; Lorsque Léandre amoureux ; Ma bergere Non légere ; Médor se mirant aux beaux yeux ; Mourons Tirsis ; N'emprisonnez pas je vous pris ; N'espérez plus mes yeux ; Ne délibérons plus ; O beau laurier ; Objet dont les charmes si doux ; Outré par la douleur ; Paisible et ténébreuse nuit ; Patoureau m'aimes-tu bien ; Petit sein où l'Amour ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Pressé d'ennuis ; Puisqu'en vous adorant ; Puisqu'il faut désormais ; Puisque Doris ; Que d'épines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que douce est la violence ; Que n'êtes vous lassées ; Que Philis a l'esprit léger ; Que servent tes conseils ; Quel excès de douleur ; Qui prêtera la parole ; Qui veut chasser migraine ; Quoique l'on puisse me dire ; Respects qui me donnez la loi ; Rigoureux souvenir d'une joie passée ; Rosette pour un peu d'absence ; Ruisseau qui cours ; Si jamais mon âme blessée ; Si je languis d'un martyre ; Soit que l'oeil pourveu ; Sombres forêts, noires vallées ; Sont-ce dards ou regards ; Sortez soupirs ; Sous la fraicheur d'un vert bocage ; Un jour Amarille et Tirsis ; Un jour l'amoureuse Sylvie ; Un satyre cornu ; Voici le temps bergèreRésumé : édition scientifique recueil Note de contenu : Index des compositeurs, des poètes et des airs.
- AUGET (Paul) : Les charmants attraits de vos yeux
- BATAILLE (Gabriel) : Amour victorieux ; C'en est fait ma belle Amarante ; Je ne sçay s'il vous souvient ; Ma bergere Non légere ; Que douce est la violence ; Qui veut chasser une migraine ; Sortés soupirs ; Sous la fraicheur d'un verd bocage ; Un satire cornu
- BOESSET (Antoine): Amarillis, bel astre de mes jours ; Beauté dont les rigueurs ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce temple où ma passion ; Du plus doux de ses traits ; Heureux séjour de Partenisse ; Ils s'en vont ces roys de ma vie ; Mourons Tirsis ; Ne délibérons plus ; N'espérez plus mes yeux ; Objet dont les charmes si doux ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Que d'espines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que servent tes conseilz ; Si c'est un crime que l'aymer ; Un jour Amarille et Tirsis
- BOESSET (Jean-Baptiste) : Que Philis a l'esprit léger
- BOYER (Jean) : Rigoureux souvenir d'une joye passée ; Sombres forests, noires vallées
- CASTRO (Jean de) : Patoureau m'ayme tu bien
- CHANCY (François de) : Faut-il mourir sans espérance
- COFFIN : Je suis Amour
- COURVILLE (J. Thibaut de): Si je languis d'un martire incongneu ; Sont-ce dards ou regards
- GRAND-RUE : Lors que tes beaux yeux mignonne
- GUEDRON (Pierre) : Belle qui m'avés blessé ; Berger, que pensés vous faire ; Bien qu'un cruel martire ; C'en est fait je ne verray plus ; Cessés mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Donc ceste merveille des cieux ; Je voudrois bien changer ; Karite de qui le bel oeil ; Lors que Léandre amoureux ; Puis qu'il faut désormais ; Quel exces de douleur ; Que n'estes vous lassées ; Quoy que l'on puisse me dire ; Si jamais mon ame blessée ; Un jour l'amoureuse Silvie ; Voicy le temps bergère
- LE BLANC (Didier) : Qui prestera la parole
- LE FEGUEUX (François) ; Petit sein où l'Amour
- LE FEVRE (Jacques) : N'emprisonnés pas je vous pris
- MAUDUIT (Jacques) : Eau vive source d'amour ; Soit que l'oeil pourveu
- MOULINIE (Etienne) : Amis enivrons-nous ; Cessez amants de servir Angélique ; Enfin la beauté que j'adore ; Je suis ravi de mon Uranie ; Paisible et ténébreuse nuit ; Puis que Doris ; Respects qui me donnez la loi
- PLANSON (Jean) : La rousée du joly mois de may
- RICHARD (François) : Amarillis je vays mourir ; Cloris attends un peu ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Ha! que de tes conseils
Puis que l'adorable Angélique ;
Ruisseau qui cours apres toy-mesme
- RIGAUD (Louis de) : Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Je hay les antres sauvages ; Outré par la douleur
- SALMON (Jacques) : O beau laurier
- SAUVAGE : Médor se mirant aux beaux yeux
- SIGNAC : Souvenir importun
- TESSIER (Charles) : La plus misérable amante
- TESSIER (Guillaume) : Amans qui vous plaignés ; Pressé d'ennuis
- VINCENT : J'ayme une fille de vilage ; Puis qu'en vous adorant
- ANONYMES : C'est un amant, ouvrez la porte ; De mes ans la fleur se desteint ; Des maux si déplorables ; Douce beauté
Ma belle si ton ame ; Rosette pour un peu d'absence
Adresse : Paris : Société Francaise de Musicologie : SEDIM, 1989 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11766 Airs de cour : pour voix et luth : 1603-1643 [PARTITIONS] / André VERCHALY, Editeur scientifique ; Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Jacques SALMON ; Gabriel BATAILLE ; Guillaume TESSIER ; Charles TESSIER ; Jacques MAUDUIT ; Jean de CASTRO ; Didier LE BLANC ; VINCENT ; Antoine BOESSET ; Joachim Thibaut de COURVILLE ; SAUVAGE ; Jacques LE FEVRE ; François LE FEGUEUX ; COFFIN ; Nicolas SIGNAC ; Paul AUGET ; Jean BOYER ; GRAND RUE ; Louis de RIGAUD ; Étienne MOULINIÉ ; Jean-Baptiste de BOESSET ; François de CHANCY ; François RICHARD ; Jean PLANSON . - [s.d.] . - 209 p.
Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. 1 voix, luth. 1603-1643
Catégories : Effectif général
1 voix, luth
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
Amants qui vous plaignez ; Amarillis je vais mourir ; Amarillis, bel astre de mes jours ; Amis enivrons-nous ; Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Amour victorieux ; Beauté dont les rigueurs ; Belle qui m'avez blessé ; Berger, que pensez vous faire ; Bien qu'un cruel martyre ; C'en est fait je ne verrai plus ; C'en est fait ma belle Amarante ; C'est un amant, ouvrez la porte ; Cessez amants de servir Angélique ; Cessez mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Cloris attends un peu ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Dans ce temple où ma passion ; De mes ans la fleur se déteint ; Des maux si déplorables ; Donc cette merveille des cieux ; Douce beauté ; Du plus doux de ses traits ; Eau vive source d'amour ; Enfin la beauté que j'adore ; Faut-il mourir sans espérance ; Ha ! que de tes conseils ; Heureux séjour de Parthénisse ; Ils s'en vont ces rois de ma vie ; Je hais les antres sauvages ; Je ne sais s'il vous souvient ; Je suis Amour ; Je suis ravi de mon Uranie ; Je voudrais bien changer ; La plus misérable amante ; La rosée du joli mois de mai ; Les charmants attraits de vos yeux ; Lors que tes beaux yeux ; Lorsque Léandre amoureux ; Ma bergere Non légere ; Médor se mirant aux beaux yeux ; Mourons Tirsis ; N'emprisonnez pas je vous pris ; N'espérez plus mes yeux ; Ne délibérons plus ; O beau laurier ; Objet dont les charmes si doux ; Outré par la douleur ; Paisible et ténébreuse nuit ; Patoureau m'aimes-tu bien ; Petit sein où l'Amour ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Pressé d'ennuis ; Puisqu'en vous adorant ; Puisqu'il faut désormais ; Puisque Doris ; Que d'épines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que douce est la violence ; Que n'êtes vous lassées ; Que Philis a l'esprit léger ; Que servent tes conseils ; Quel excès de douleur ; Qui prêtera la parole ; Qui veut chasser migraine ; Quoique l'on puisse me dire ; Respects qui me donnez la loi ; Rigoureux souvenir d'une joie passée ; Rosette pour un peu d'absence ; Ruisseau qui cours ; Si jamais mon âme blessée ; Si je languis d'un martyre ; Soit que l'oeil pourveu ; Sombres forêts, noires vallées ; Sont-ce dards ou regards ; Sortez soupirs ; Sous la fraicheur d'un vert bocage ; Un jour Amarille et Tirsis ; Un jour l'amoureuse Sylvie ; Un satyre cornu ; Voici le temps bergèreRésumé : édition scientifique recueil Note de contenu : Index des compositeurs, des poètes et des airs.
- AUGET (Paul) : Les charmants attraits de vos yeux
- BATAILLE (Gabriel) : Amour victorieux ; C'en est fait ma belle Amarante ; Je ne sçay s'il vous souvient ; Ma bergere Non légere ; Que douce est la violence ; Qui veut chasser une migraine ; Sortés soupirs ; Sous la fraicheur d'un verd bocage ; Un satire cornu
- BOESSET (Antoine): Amarillis, bel astre de mes jours ; Beauté dont les rigueurs ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce temple où ma passion ; Du plus doux de ses traits ; Heureux séjour de Partenisse ; Ils s'en vont ces roys de ma vie ; Mourons Tirsis ; Ne délibérons plus ; N'espérez plus mes yeux ; Objet dont les charmes si doux ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Que d'espines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que servent tes conseilz ; Si c'est un crime que l'aymer ; Un jour Amarille et Tirsis
- BOESSET (Jean-Baptiste) : Que Philis a l'esprit léger
- BOYER (Jean) : Rigoureux souvenir d'une joye passée ; Sombres forests, noires vallées
- CASTRO (Jean de) : Patoureau m'ayme tu bien
- CHANCY (François de) : Faut-il mourir sans espérance
- COFFIN : Je suis Amour
- COURVILLE (J. Thibaut de): Si je languis d'un martire incongneu ; Sont-ce dards ou regards
- GRAND-RUE : Lors que tes beaux yeux mignonne
- GUEDRON (Pierre) : Belle qui m'avés blessé ; Berger, que pensés vous faire ; Bien qu'un cruel martire ; C'en est fait je ne verray plus ; Cessés mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Donc ceste merveille des cieux ; Je voudrois bien changer ; Karite de qui le bel oeil ; Lors que Léandre amoureux ; Puis qu'il faut désormais ; Quel exces de douleur ; Que n'estes vous lassées ; Quoy que l'on puisse me dire ; Si jamais mon ame blessée ; Un jour l'amoureuse Silvie ; Voicy le temps bergère
- LE BLANC (Didier) : Qui prestera la parole
- LE FEGUEUX (François) ; Petit sein où l'Amour
- LE FEVRE (Jacques) : N'emprisonnés pas je vous pris
- MAUDUIT (Jacques) : Eau vive source d'amour ; Soit que l'oeil pourveu
- MOULINIE (Etienne) : Amis enivrons-nous ; Cessez amants de servir Angélique ; Enfin la beauté que j'adore ; Je suis ravi de mon Uranie ; Paisible et ténébreuse nuit ; Puis que Doris ; Respects qui me donnez la loi
- PLANSON (Jean) : La rousée du joly mois de may
- RICHARD (François) : Amarillis je vays mourir ; Cloris attends un peu ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Ha! que de tes conseils
Puis que l'adorable Angélique ;
Ruisseau qui cours apres toy-mesme
- RIGAUD (Louis de) : Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Je hay les antres sauvages ; Outré par la douleur
- SALMON (Jacques) : O beau laurier
- SAUVAGE : Médor se mirant aux beaux yeux
- SIGNAC : Souvenir importun
- TESSIER (Charles) : La plus misérable amante
- TESSIER (Guillaume) : Amans qui vous plaignés ; Pressé d'ennuis
- VINCENT : J'ayme une fille de vilage ; Puis qu'en vous adorant
- ANONYMES : C'est un amant, ouvrez la porte ; De mes ans la fleur se desteint ; Des maux si déplorables ; Douce beauté
Ma belle si ton ame ; Rosette pour un peu d'absence
Adresse : Paris : Société Francaise de Musicologie : SEDIM, 1989 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11766 Exemplaires(2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 308 MFV ANT 10 papier Bibliothèque du CMBV Salle de lecture Consultable sur place
Disponible308-1 MFV ANT 10 papier Bibliothèque du CMBV Salle de lecture Consultable sur place
DisponibleVIII. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs / Anonyme
Titre : VIII. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs Type de document : PARTITIONS Auteurs : Anonyme ; Antoine BOESSET ; AUGET ; RICHARD ; BOYER Editeur : Paris : Pierre Ballard Oeuvres / Expressions : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. diff auteurs. Livre 8. 1628 Importance : 51 f. Catégories : Effectif général
1 voix seule
Mots-clés
air ; air à boire ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
Amis de carême prenant ; Attends Philis ; Ballet de la reine ; Ballet de Monsieur ; Ballet du Roi ; Beauté du monde la plus belle ; Beaux yeux dont les divins attraits ; Belle bergère que j'adore ; Belle vous m'avez prévenu ; Bien loin profanes de ces lieux ; Candide penses tu ; Ce se jour n'était qu'une nuit ; Ces soleils flambeaux de mon âme ; Divine et parfaite beauté ; Dove ne vai crudelle ; En vain le désir de gloire ; Enfin les dieux selon mon désir ; Etre charmé par les appas ; FAUT-IL QUE JE QUITTE CES LIEUX ; FILS AINE DE LA PRUDENCE, LE ; GRANDS SOLEILS DIVINES BEAUTES ; IL N'EST PLUS TEMPS DE FAIRE RESISTANCE ; J'adore une beauté ; JE BENIRAI CENT FOIS LE JOUR ; JE SAIS BIEN QUE JE DOIS MOURIR ; JE SOUFFRE L'INJUSTICE ; JE SUIS LE PLUS HEUREUX BERGER ; JE VEUX MOURIR S'IL EST VRAI ; L'Amant a du contentement ; L'Amour assisté de l'ennuie ; LORSQUE PHILIS DU BEAU TRAIT ; LOUIS AIME DES DIEUX ; MES YEUX SONT CHANGES EN FONTAINES ; N'EST-CE PAS ASSEZ ; NON SPERI PIETA ; NYMPHE LA MERVEILLE D'AMOUR ; O baiser doux et agréable ; O dieux qui pourrait dire ; ON VERRA PLUTÔT LES MONTAGNES, L' ; PHILIS TU PENSES ME CHARMER ; PLUS CONTENTS QUE TOUS LES HUMAINS ; PUISQUE VOUS AVEZ ARRETE ; QU'UNE BEAUTE PLEINE D'APPAS ; QUE D'OBJETS D'AMOUR ; QUE LE BON VIN SE DOIT CHERIR ; Que servent tes conseils ; QUE T'AI-JE FAIT CRUELLE ; QUOI ME VEUX TU LAISSER MOURIR ; REINE QUE JE SERS ; SANS DESSEIN NOUS AVONS VECU ; SUIS-JE PAS MISERABLE ; SUIVEZ-NOUS BELLES NYMPHES ; TU FAIS BIEN DE VOULOIR UN GAGERésumé : recueil Note de contenu : Provenance : Paris : BNF : Rés. Vm7 277 [8]. Contient : - Enfin les dieux selon mon désir, Suis-je pas misérable, Qu'une beauté pleine d'appas, Que d'objets d'Amour (Ballet du Roy), Bien loin prophannes de ces lieux (Ballet de la Reyne), Suivez-nous belles nymphes (Ballet de la Reyne), Reyne que je sers (Ballet de la Reyne), Grands soleils divines beautez (Ballet de Monsieur), O dieux ! qui pourroit dire, Faut-il que je quitte ces lieux, Que servent tes conseils, En vain le désir de gloire, Attends Philis c'est un dieu qui t'appelle, Non speri pieta, Dove ne vai crudelle / Boesset. - Ballet du Roy : Le fils aîné de la prudence, Amis de caresme prenant / Auget. - Plus contents que tous les humains (Ballet du Roy), Philis tu pense me charmer, Je sçay bien que je dois mourir, Il n'est plus temps de faire résistance, Je veux mourir s'il est vray que Silvie / Richart. - Nymphe la merveille d'amour, Beauté du monde la plus belle, Beaux yeux dont les divins attraits, Lors que Philis du beau trait, Ces soleils flambeaux de mon âme, Belle bergère que j'adore, J'adore une beauté, Je béniray cent fois le jour, L'Amant a du contentement, L'on verra plustot les montagnes, O baiser doux et agréable, Je suis le plus heureux Berger, N'estoit pas assez, Tu fais bien de vouloir un gage, Divine et parfaicte beauté, Ce jour n'estoit qu'une nuit, Belle vous m'avez prévenu, Je souffre l'injustice, Louys aimé des dieux, Mes yeux son changés en fontaines, Que t'ay-je fait cruelle, Candide pense-tu que ta rare beauté, Quoy ? me veux-tu laisser mourir, Estre charmé par les appas, L'Amour assisté de l'ennuie, Sans dessein nous avons vescu, Puis que vous avez arresté / Boyer. - Que le bon vin se doit chérir / Anonyme. Adresse : Paris : P. Ballard, 1628 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Rés Vm7 277/F-Pn Musique/ Rés Vm7 277 [ 8] Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4164 VIII. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs [PARTITIONS] / Anonyme ; Antoine BOESSET ; AUGET ; RICHARD ; BOYER . - Paris : Pierre Ballard, [s.d.] . - 51 f.
Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. diff auteurs. Livre 8. 1628
Catégories : Effectif général
1 voix seule
Mots-clés
air ; air à boire ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
Amis de carême prenant ; Attends Philis ; Ballet de la reine ; Ballet de Monsieur ; Ballet du Roi ; Beauté du monde la plus belle ; Beaux yeux dont les divins attraits ; Belle bergère que j'adore ; Belle vous m'avez prévenu ; Bien loin profanes de ces lieux ; Candide penses tu ; Ce se jour n'était qu'une nuit ; Ces soleils flambeaux de mon âme ; Divine et parfaite beauté ; Dove ne vai crudelle ; En vain le désir de gloire ; Enfin les dieux selon mon désir ; Etre charmé par les appas ; FAUT-IL QUE JE QUITTE CES LIEUX ; FILS AINE DE LA PRUDENCE, LE ; GRANDS SOLEILS DIVINES BEAUTES ; IL N'EST PLUS TEMPS DE FAIRE RESISTANCE ; J'adore une beauté ; JE BENIRAI CENT FOIS LE JOUR ; JE SAIS BIEN QUE JE DOIS MOURIR ; JE SOUFFRE L'INJUSTICE ; JE SUIS LE PLUS HEUREUX BERGER ; JE VEUX MOURIR S'IL EST VRAI ; L'Amant a du contentement ; L'Amour assisté de l'ennuie ; LORSQUE PHILIS DU BEAU TRAIT ; LOUIS AIME DES DIEUX ; MES YEUX SONT CHANGES EN FONTAINES ; N'EST-CE PAS ASSEZ ; NON SPERI PIETA ; NYMPHE LA MERVEILLE D'AMOUR ; O baiser doux et agréable ; O dieux qui pourrait dire ; ON VERRA PLUTÔT LES MONTAGNES, L' ; PHILIS TU PENSES ME CHARMER ; PLUS CONTENTS QUE TOUS LES HUMAINS ; PUISQUE VOUS AVEZ ARRETE ; QU'UNE BEAUTE PLEINE D'APPAS ; QUE D'OBJETS D'AMOUR ; QUE LE BON VIN SE DOIT CHERIR ; Que servent tes conseils ; QUE T'AI-JE FAIT CRUELLE ; QUOI ME VEUX TU LAISSER MOURIR ; REINE QUE JE SERS ; SANS DESSEIN NOUS AVONS VECU ; SUIS-JE PAS MISERABLE ; SUIVEZ-NOUS BELLES NYMPHES ; TU FAIS BIEN DE VOULOIR UN GAGERésumé : recueil Note de contenu : Provenance : Paris : BNF : Rés. Vm7 277 [8]. Contient : - Enfin les dieux selon mon désir, Suis-je pas misérable, Qu'une beauté pleine d'appas, Que d'objets d'Amour (Ballet du Roy), Bien loin prophannes de ces lieux (Ballet de la Reyne), Suivez-nous belles nymphes (Ballet de la Reyne), Reyne que je sers (Ballet de la Reyne), Grands soleils divines beautez (Ballet de Monsieur), O dieux ! qui pourroit dire, Faut-il que je quitte ces lieux, Que servent tes conseils, En vain le désir de gloire, Attends Philis c'est un dieu qui t'appelle, Non speri pieta, Dove ne vai crudelle / Boesset. - Ballet du Roy : Le fils aîné de la prudence, Amis de caresme prenant / Auget. - Plus contents que tous les humains (Ballet du Roy), Philis tu pense me charmer, Je sçay bien que je dois mourir, Il n'est plus temps de faire résistance, Je veux mourir s'il est vray que Silvie / Richart. - Nymphe la merveille d'amour, Beauté du monde la plus belle, Beaux yeux dont les divins attraits, Lors que Philis du beau trait, Ces soleils flambeaux de mon âme, Belle bergère que j'adore, J'adore une beauté, Je béniray cent fois le jour, L'Amant a du contentement, L'on verra plustot les montagnes, O baiser doux et agréable, Je suis le plus heureux Berger, N'estoit pas assez, Tu fais bien de vouloir un gage, Divine et parfaicte beauté, Ce jour n'estoit qu'une nuit, Belle vous m'avez prévenu, Je souffre l'injustice, Louys aimé des dieux, Mes yeux son changés en fontaines, Que t'ay-je fait cruelle, Candide pense-tu que ta rare beauté, Quoy ? me veux-tu laisser mourir, Estre charmé par les appas, L'Amour assisté de l'ennuie, Sans dessein nous avons vescu, Puis que vous avez arresté / Boyer. - Que le bon vin se doit chérir / Anonyme. Adresse : Paris : P. Ballard, 1628 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Rés Vm7 277/F-Pn Musique/ Rés Vm7 277 [ 8] Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4164 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7928 ARC ANO 40 papier Bibliothèque du CMBV Salle de lecture Consultable sur place
Disponible