Catalogue de la bibliothèque du Centre de musique baroque de Versailles
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VI. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs / Anonyme
Titre : VI. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs Type de document : PARTITIONS Auteurs : Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Étienne MOULINIÉ Editeur : Paris : Pierre Ballard Oeuvres / Expressions : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. diff auteurs. Livre 6. 1624 Importance : 61 f. Catégories : Effectif général
1 voix seule
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
A la fin cette bergère ; Absent de l'objet de mon âme ; Allez tristes soupirs ; Ballet de la reine ; Ballet du Roi ; Beaux yeux qui caches ; Celui qui dit que l'absence ; Cessez mes pensers ennuyeux ; Ciel pitoyable à mes voeux ; Cloris de son oeil amoureux ; Cloris dont la beauté ; Cruel tyran de mes désirs ; D'Où sort cette grande clarté ; Dans la prison de mes cheveux ; De tous les maux je sens ; Délivres des horreurs ; Dessus le bord de ce rivage ; En approchant le bord ; Enfin Hylas est arrêté ; Enfin la beauté que je sers ; Esprit autrefois amoureux ; FAUT-IL QUE LES PERFECTIONS ; Grandes reines dont la Victoire ; HA COMPAGNONS ; HELAS QUE DE DOULEURS ; Heureux séjour de Parthénisse ; IL SORT DE NOS CORPS ; Iris n'est plus celle ; IRIS VOS RIGUEURS IHNUMAINES ; JE NE SUIS PLUS CETTE JUNON ; JE SERS DE L'OEIL ET DE PENSER ; JE VEUX QUE LE CIEL ME PUNISSE ; L'Amour de mon âme dispose ; LANGUISSANT AU BORD DE SEINE ; LAS QUE J'ENDURE DE MARTYRE ; Le berger plein d'amour ; Mes yeux il est temps de pleurer ; MES YEUX N'AYEZ PLUS QUE DES LARMES ; Ne délibérons plus ; O rigoureuse Cloris ; O trop heureux ; Ondes qui soulevez vos voûtes ; OU FUYEZ-VOUS ; Paisible et ténébreuse nuit ; POURQUOI ME DITES-VOUS ; PUISQUE CE DIEU VAINQUEUR ; Puisque Cloris ; PUISQUE L'AMOUR ; PUISQUE L'AN EST FINI ; Quel nouveau Dieu ; QUEL SORT MERVEILLE DE LA TERRE ; QUELLE EST CETTE MERVEILLE ; QUI N'EUT ETE DECU ; Quittez cette fière rigueur ; QUOI FAUT-IL DONC ; Rochers affreux ; SI TU CROIS QUE JE SENS DU MAL ; SOLEIL RETIREZ VOTRE JOUR ; Soleils astres puissants ; Soupirant au bord de Seine ; SUS DONC PUISQU'IL LE FAUT ; Vous qui n'allégez pointRésumé : recueil Note de contenu : Provenance : Paris : BNF : Rés. Vm7 277 [6]. Contient : Ballet du Roy : - Quel sort, merveilles de la terre. - Grandes Reynes, dont la victoire. Ballet de la Reyne : - O trop heureux ceux qui de nos traits. Airs : - Iris vos rigueurs inhumaines. - Heureux sejour de Parthenisse d'Alidor. - Si tu crois que je sens du mal. - Qui n'eust esté deçeu. - Dessus le bord de ce rivage. - Je veux que le Ciel me punisse. - L'Amour de mon ame dispose. - Sus donc puis qu'il le faut. - Celuy qui dit que l'absence. - Cloris de son oeil amoureux. - Cloris, dont la beauté. - Helas ! que de douleurs. - Mes yeux n'ayez plus que des larmes. - Mes yeux il est temps de pleurer. - Le berger plein d'amour. - Cessés mes pensers ennuieux. - Dans la prison de mes cheveux. - Faut-il que les perfections. - Pourquoy me dittes vous. - Puis que l'Amour m'a fait captive. - De tous les maux je sens le pire. - O rigoureuse Cloris. - Allés tristes soupirs. - Ou fuyez vous plein d'inconstance. - Beaux yeux qui cachés la flame. - Quittez, quittez cette fiere rigueur. - Iris n'est plus celle qui nuit jour. - Quel nouveau dieu sur ce rivage. - En fin Hylas est arresté. - Puis que Cloris pour qui je meurs. - Ha ! compagnons nous voyla bien. - Le ciel pitoyable à mes voeux. - En fin la beauté que j'adore. - Soupirant au bord de Seine. - Quoy faut-il donc vous dire adieu / Guédron. - Soleil retirés vostre jour. - Absent de l'objét de mon ame. - Las ! que j'endure de martire. - Puis que l'an est fini. - Languissant au bord de Seine. - Cruel tyran de mes desirs. - A la fin cette bergere. - Quelle est cette merveille. - Puis que l'Amour vainqueur. - Ne deliberons plus. - Je sers de l'oeil, du penser. - Je ne suis plus cette Junon. Récit du Ballet des Titeurs de buttes : - Delivrés des horreurs de Mars. Ballet du Monde Renversé : - D'où sort cette grande clairté. - Il sort de nos corps. Récit : - Vous qui n'allegés point. - En aprochant le bord. - Paisible tenebreuse nuit / Mouliné - Soleils, astres puissans. - Rochers affreux, vous ô Bois. - Ondes qui souslevez vos voûtes vagabondes. - Esprits autre-fois amoureux. Adresse : Paris : P. Ballard, 1624 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Rés Vm7 277/F-Pn Musique/ Rés Vm7 277 [ 6] Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4166 VI. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs [PARTITIONS] / Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Étienne MOULINIÉ . - Paris : Pierre Ballard, [s.d.] . - 61 f.
Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. diff auteurs. Livre 6. 1624
Catégories : Effectif général
1 voix seule
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
A la fin cette bergère ; Absent de l'objet de mon âme ; Allez tristes soupirs ; Ballet de la reine ; Ballet du Roi ; Beaux yeux qui caches ; Celui qui dit que l'absence ; Cessez mes pensers ennuyeux ; Ciel pitoyable à mes voeux ; Cloris de son oeil amoureux ; Cloris dont la beauté ; Cruel tyran de mes désirs ; D'Où sort cette grande clarté ; Dans la prison de mes cheveux ; De tous les maux je sens ; Délivres des horreurs ; Dessus le bord de ce rivage ; En approchant le bord ; Enfin Hylas est arrêté ; Enfin la beauté que je sers ; Esprit autrefois amoureux ; FAUT-IL QUE LES PERFECTIONS ; Grandes reines dont la Victoire ; HA COMPAGNONS ; HELAS QUE DE DOULEURS ; Heureux séjour de Parthénisse ; IL SORT DE NOS CORPS ; Iris n'est plus celle ; IRIS VOS RIGUEURS IHNUMAINES ; JE NE SUIS PLUS CETTE JUNON ; JE SERS DE L'OEIL ET DE PENSER ; JE VEUX QUE LE CIEL ME PUNISSE ; L'Amour de mon âme dispose ; LANGUISSANT AU BORD DE SEINE ; LAS QUE J'ENDURE DE MARTYRE ; Le berger plein d'amour ; Mes yeux il est temps de pleurer ; MES YEUX N'AYEZ PLUS QUE DES LARMES ; Ne délibérons plus ; O rigoureuse Cloris ; O trop heureux ; Ondes qui soulevez vos voûtes ; OU FUYEZ-VOUS ; Paisible et ténébreuse nuit ; POURQUOI ME DITES-VOUS ; PUISQUE CE DIEU VAINQUEUR ; Puisque Cloris ; PUISQUE L'AMOUR ; PUISQUE L'AN EST FINI ; Quel nouveau Dieu ; QUEL SORT MERVEILLE DE LA TERRE ; QUELLE EST CETTE MERVEILLE ; QUI N'EUT ETE DECU ; Quittez cette fière rigueur ; QUOI FAUT-IL DONC ; Rochers affreux ; SI TU CROIS QUE JE SENS DU MAL ; SOLEIL RETIREZ VOTRE JOUR ; Soleils astres puissants ; Soupirant au bord de Seine ; SUS DONC PUISQU'IL LE FAUT ; Vous qui n'allégez pointRésumé : recueil Note de contenu : Provenance : Paris : BNF : Rés. Vm7 277 [6]. Contient : Ballet du Roy : - Quel sort, merveilles de la terre. - Grandes Reynes, dont la victoire. Ballet de la Reyne : - O trop heureux ceux qui de nos traits. Airs : - Iris vos rigueurs inhumaines. - Heureux sejour de Parthenisse d'Alidor. - Si tu crois que je sens du mal. - Qui n'eust esté deçeu. - Dessus le bord de ce rivage. - Je veux que le Ciel me punisse. - L'Amour de mon ame dispose. - Sus donc puis qu'il le faut. - Celuy qui dit que l'absence. - Cloris de son oeil amoureux. - Cloris, dont la beauté. - Helas ! que de douleurs. - Mes yeux n'ayez plus que des larmes. - Mes yeux il est temps de pleurer. - Le berger plein d'amour. - Cessés mes pensers ennuieux. - Dans la prison de mes cheveux. - Faut-il que les perfections. - Pourquoy me dittes vous. - Puis que l'Amour m'a fait captive. - De tous les maux je sens le pire. - O rigoureuse Cloris. - Allés tristes soupirs. - Ou fuyez vous plein d'inconstance. - Beaux yeux qui cachés la flame. - Quittez, quittez cette fiere rigueur. - Iris n'est plus celle qui nuit jour. - Quel nouveau dieu sur ce rivage. - En fin Hylas est arresté. - Puis que Cloris pour qui je meurs. - Ha ! compagnons nous voyla bien. - Le ciel pitoyable à mes voeux. - En fin la beauté que j'adore. - Soupirant au bord de Seine. - Quoy faut-il donc vous dire adieu / Guédron. - Soleil retirés vostre jour. - Absent de l'objét de mon ame. - Las ! que j'endure de martire. - Puis que l'an est fini. - Languissant au bord de Seine. - Cruel tyran de mes desirs. - A la fin cette bergere. - Quelle est cette merveille. - Puis que l'Amour vainqueur. - Ne deliberons plus. - Je sers de l'oeil, du penser. - Je ne suis plus cette Junon. Récit du Ballet des Titeurs de buttes : - Delivrés des horreurs de Mars. Ballet du Monde Renversé : - D'où sort cette grande clairté. - Il sort de nos corps. Récit : - Vous qui n'allegés point. - En aprochant le bord. - Paisible tenebreuse nuit / Mouliné - Soleils, astres puissans. - Rochers affreux, vous ô Bois. - Ondes qui souslevez vos voûtes vagabondes. - Esprits autre-fois amoureux. Adresse : Paris : P. Ballard, 1624 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Rés Vm7 277/F-Pn Musique/ Rés Vm7 277 [ 6] Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4166 Exemplaires(1)
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