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Airs de cour : pour voix et luth : 1603-1643 / André VERCHALY
Titre : Airs de cour : pour voix et luth : 1603-1643 Type de document : PARTITIONS Auteurs : André VERCHALY, Editeur scientifique ; Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Jacques SALMON ; Gabriel BATAILLE ; Guillaume TESSIER ; Charles TESSIER ; Jacques MAUDUIT ; Jean de CASTRO ; Didier LE BLANC ; VINCENT ; Antoine BOESSET ; Joachim Thibaut de COURVILLE ; SAUVAGE ; Jacques LE FEVRE ; François LE FEGUEUX ; COFFIN ; Nicolas SIGNAC ; Paul AUGET ; Jean BOYER ; GRAND RUE ; Louis de RIGAUD ; Étienne MOULINIÉ ; Jean-Baptiste de BOESSET ; François de CHANCY ; François RICHARD ; Jean PLANSON Oeuvres / Expressions : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. 1 voix, luth. 1603-1643 Importance : 209 p. Catégories : Effectif général
1 voix, luth
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
Amants qui vous plaignez ; Amarillis je vais mourir ; Amarillis, bel astre de mes jours ; Amis enivrons-nous ; Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Amour victorieux ; Beauté dont les rigueurs ; Belle qui m'avez blessé ; Berger, que pensez vous faire ; Bien qu'un cruel martyre ; C'en est fait je ne verrai plus ; C'en est fait ma belle Amarante ; C'est un amant, ouvrez la porte ; Cessez amants de servir Angélique ; Cessez mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Cloris attends un peu ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Dans ce temple où ma passion ; De mes ans la fleur se déteint ; Des maux si déplorables ; Donc cette merveille des cieux ; Douce beauté ; Du plus doux de ses traits ; Eau vive source d'amour ; Enfin la beauté que j'adore ; Faut-il mourir sans espérance ; Ha ! que de tes conseils ; Heureux séjour de Parthénisse ; Ils s'en vont ces rois de ma vie ; Je hais les antres sauvages ; Je ne sais s'il vous souvient ; Je suis Amour ; Je suis ravi de mon Uranie ; Je voudrais bien changer ; La plus misérable amante ; La rosée du joli mois de mai ; Les charmants attraits de vos yeux ; Lors que tes beaux yeux ; Lorsque Léandre amoureux ; Ma bergere Non légere ; Médor se mirant aux beaux yeux ; Mourons Tirsis ; N'emprisonnez pas je vous pris ; N'espérez plus mes yeux ; Ne délibérons plus ; O beau laurier ; Objet dont les charmes si doux ; Outré par la douleur ; Paisible et ténébreuse nuit ; Patoureau m'aimes-tu bien ; Petit sein où l'Amour ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Pressé d'ennuis ; Puisqu'en vous adorant ; Puisqu'il faut désormais ; Puisque Doris ; Que d'épines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que douce est la violence ; Que n'êtes vous lassées ; Que Philis a l'esprit léger ; Que servent tes conseils ; Quel excès de douleur ; Qui prêtera la parole ; Qui veut chasser migraine ; Quoique l'on puisse me dire ; Respects qui me donnez la loi ; Rigoureux souvenir d'une joie passée ; Rosette pour un peu d'absence ; Ruisseau qui cours ; Si jamais mon âme blessée ; Si je languis d'un martyre ; Soit que l'oeil pourveu ; Sombres forêts, noires vallées ; Sont-ce dards ou regards ; Sortez soupirs ; Sous la fraicheur d'un vert bocage ; Un jour Amarille et Tirsis ; Un jour l'amoureuse Sylvie ; Un satyre cornu ; Voici le temps bergèreRésumé : édition scientifique recueil Note de contenu : Index des compositeurs, des poètes et des airs.
- AUGET (Paul) : Les charmants attraits de vos yeux
- BATAILLE (Gabriel) : Amour victorieux ; C'en est fait ma belle Amarante ; Je ne sçay s'il vous souvient ; Ma bergere Non légere ; Que douce est la violence ; Qui veut chasser une migraine ; Sortés soupirs ; Sous la fraicheur d'un verd bocage ; Un satire cornu
- BOESSET (Antoine): Amarillis, bel astre de mes jours ; Beauté dont les rigueurs ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce temple où ma passion ; Du plus doux de ses traits ; Heureux séjour de Partenisse ; Ils s'en vont ces roys de ma vie ; Mourons Tirsis ; Ne délibérons plus ; N'espérez plus mes yeux ; Objet dont les charmes si doux ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Que d'espines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que servent tes conseilz ; Si c'est un crime que l'aymer ; Un jour Amarille et Tirsis
- BOESSET (Jean-Baptiste) : Que Philis a l'esprit léger
- BOYER (Jean) : Rigoureux souvenir d'une joye passée ; Sombres forests, noires vallées
- CASTRO (Jean de) : Patoureau m'ayme tu bien
- CHANCY (François de) : Faut-il mourir sans espérance
- COFFIN : Je suis Amour
- COURVILLE (J. Thibaut de): Si je languis d'un martire incongneu ; Sont-ce dards ou regards
- GRAND-RUE : Lors que tes beaux yeux mignonne
- GUEDRON (Pierre) : Belle qui m'avés blessé ; Berger, que pensés vous faire ; Bien qu'un cruel martire ; C'en est fait je ne verray plus ; Cessés mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Donc ceste merveille des cieux ; Je voudrois bien changer ; Karite de qui le bel oeil ; Lors que Léandre amoureux ; Puis qu'il faut désormais ; Quel exces de douleur ; Que n'estes vous lassées ; Quoy que l'on puisse me dire ; Si jamais mon ame blessée ; Un jour l'amoureuse Silvie ; Voicy le temps bergère
- LE BLANC (Didier) : Qui prestera la parole
- LE FEGUEUX (François) ; Petit sein où l'Amour
- LE FEVRE (Jacques) : N'emprisonnés pas je vous pris
- MAUDUIT (Jacques) : Eau vive source d'amour ; Soit que l'oeil pourveu
- MOULINIE (Etienne) : Amis enivrons-nous ; Cessez amants de servir Angélique ; Enfin la beauté que j'adore ; Je suis ravi de mon Uranie ; Paisible et ténébreuse nuit ; Puis que Doris ; Respects qui me donnez la loi
- PLANSON (Jean) : La rousée du joly mois de may
- RICHARD (François) : Amarillis je vays mourir ; Cloris attends un peu ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Ha! que de tes conseils
Puis que l'adorable Angélique ;
Ruisseau qui cours apres toy-mesme
- RIGAUD (Louis de) : Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Je hay les antres sauvages ; Outré par la douleur
- SALMON (Jacques) : O beau laurier
- SAUVAGE : Médor se mirant aux beaux yeux
- SIGNAC : Souvenir importun
- TESSIER (Charles) : La plus misérable amante
- TESSIER (Guillaume) : Amans qui vous plaignés ; Pressé d'ennuis
- VINCENT : J'ayme une fille de vilage ; Puis qu'en vous adorant
- ANONYMES : C'est un amant, ouvrez la porte ; De mes ans la fleur se desteint ; Des maux si déplorables ; Douce beauté
Ma belle si ton ame ; Rosette pour un peu d'absence
Adresse : Paris : Société Francaise de Musicologie : SEDIM, 1989 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11766 Airs de cour : pour voix et luth : 1603-1643 [PARTITIONS] / André VERCHALY, Editeur scientifique ; Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Jacques SALMON ; Gabriel BATAILLE ; Guillaume TESSIER ; Charles TESSIER ; Jacques MAUDUIT ; Jean de CASTRO ; Didier LE BLANC ; VINCENT ; Antoine BOESSET ; Joachim Thibaut de COURVILLE ; SAUVAGE ; Jacques LE FEVRE ; François LE FEGUEUX ; COFFIN ; Nicolas SIGNAC ; Paul AUGET ; Jean BOYER ; GRAND RUE ; Louis de RIGAUD ; Étienne MOULINIÉ ; Jean-Baptiste de BOESSET ; François de CHANCY ; François RICHARD ; Jean PLANSON . - [s.d.] . - 209 p.
Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. 1 voix, luth. 1603-1643
Catégories : Effectif général
1 voix, luth
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
Amants qui vous plaignez ; Amarillis je vais mourir ; Amarillis, bel astre de mes jours ; Amis enivrons-nous ; Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Amour victorieux ; Beauté dont les rigueurs ; Belle qui m'avez blessé ; Berger, que pensez vous faire ; Bien qu'un cruel martyre ; C'en est fait je ne verrai plus ; C'en est fait ma belle Amarante ; C'est un amant, ouvrez la porte ; Cessez amants de servir Angélique ; Cessez mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Cloris attends un peu ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Dans ce temple où ma passion ; De mes ans la fleur se déteint ; Des maux si déplorables ; Donc cette merveille des cieux ; Douce beauté ; Du plus doux de ses traits ; Eau vive source d'amour ; Enfin la beauté que j'adore ; Faut-il mourir sans espérance ; Ha ! que de tes conseils ; Heureux séjour de Parthénisse ; Ils s'en vont ces rois de ma vie ; Je hais les antres sauvages ; Je ne sais s'il vous souvient ; Je suis Amour ; Je suis ravi de mon Uranie ; Je voudrais bien changer ; La plus misérable amante ; La rosée du joli mois de mai ; Les charmants attraits de vos yeux ; Lors que tes beaux yeux ; Lorsque Léandre amoureux ; Ma bergere Non légere ; Médor se mirant aux beaux yeux ; Mourons Tirsis ; N'emprisonnez pas je vous pris ; N'espérez plus mes yeux ; Ne délibérons plus ; O beau laurier ; Objet dont les charmes si doux ; Outré par la douleur ; Paisible et ténébreuse nuit ; Patoureau m'aimes-tu bien ; Petit sein où l'Amour ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Pressé d'ennuis ; Puisqu'en vous adorant ; Puisqu'il faut désormais ; Puisque Doris ; Que d'épines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que douce est la violence ; Que n'êtes vous lassées ; Que Philis a l'esprit léger ; Que servent tes conseils ; Quel excès de douleur ; Qui prêtera la parole ; Qui veut chasser migraine ; Quoique l'on puisse me dire ; Respects qui me donnez la loi ; Rigoureux souvenir d'une joie passée ; Rosette pour un peu d'absence ; Ruisseau qui cours ; Si jamais mon âme blessée ; Si je languis d'un martyre ; Soit que l'oeil pourveu ; Sombres forêts, noires vallées ; Sont-ce dards ou regards ; Sortez soupirs ; Sous la fraicheur d'un vert bocage ; Un jour Amarille et Tirsis ; Un jour l'amoureuse Sylvie ; Un satyre cornu ; Voici le temps bergèreRésumé : édition scientifique recueil Note de contenu : Index des compositeurs, des poètes et des airs.
- AUGET (Paul) : Les charmants attraits de vos yeux
- BATAILLE (Gabriel) : Amour victorieux ; C'en est fait ma belle Amarante ; Je ne sçay s'il vous souvient ; Ma bergere Non légere ; Que douce est la violence ; Qui veut chasser une migraine ; Sortés soupirs ; Sous la fraicheur d'un verd bocage ; Un satire cornu
- BOESSET (Antoine): Amarillis, bel astre de mes jours ; Beauté dont les rigueurs ; Complices de ma servitude ; Cruel tyran de mes désirs ; Dans ce temple où ma passion ; Du plus doux de ses traits ; Heureux séjour de Partenisse ; Ils s'en vont ces roys de ma vie ; Mourons Tirsis ; Ne délibérons plus ; N'espérez plus mes yeux ; Objet dont les charmes si doux ; Plaignez la rigueur de mon sort ; Que d'espines, Amour ; Que douce est l'influence ; Que servent tes conseilz ; Si c'est un crime que l'aymer ; Un jour Amarille et Tirsis
- BOESSET (Jean-Baptiste) : Que Philis a l'esprit léger
- BOYER (Jean) : Rigoureux souvenir d'une joye passée ; Sombres forests, noires vallées
- CASTRO (Jean de) : Patoureau m'ayme tu bien
- CHANCY (François de) : Faut-il mourir sans espérance
- COFFIN : Je suis Amour
- COURVILLE (J. Thibaut de): Si je languis d'un martire incongneu ; Sont-ce dards ou regards
- GRAND-RUE : Lors que tes beaux yeux mignonne
- GUEDRON (Pierre) : Belle qui m'avés blessé ; Berger, que pensés vous faire ; Bien qu'un cruel martire ; C'en est fait je ne verray plus ; Cessés mortels de soupirer ; Cette Princesse dont le nom ; Donc ceste merveille des cieux ; Je voudrois bien changer ; Karite de qui le bel oeil ; Lors que Léandre amoureux ; Puis qu'il faut désormais ; Quel exces de douleur ; Que n'estes vous lassées ; Quoy que l'on puisse me dire ; Si jamais mon ame blessée ; Un jour l'amoureuse Silvie ; Voicy le temps bergère
- LE BLANC (Didier) : Qui prestera la parole
- LE FEGUEUX (François) ; Petit sein où l'Amour
- LE FEVRE (Jacques) : N'emprisonnés pas je vous pris
- MAUDUIT (Jacques) : Eau vive source d'amour ; Soit que l'oeil pourveu
- MOULINIE (Etienne) : Amis enivrons-nous ; Cessez amants de servir Angélique ; Enfin la beauté que j'adore ; Je suis ravi de mon Uranie ; Paisible et ténébreuse nuit ; Puis que Doris ; Respects qui me donnez la loi
- PLANSON (Jean) : La rousée du joly mois de may
- RICHARD (François) : Amarillis je vays mourir ; Cloris attends un peu ; Dans ce beau séjour des plaisirs ; Ha! que de tes conseils
Puis que l'adorable Angélique ;
Ruisseau qui cours apres toy-mesme
- RIGAUD (Louis de) : Amour grand vainqueur des vainqueurs ; Je hay les antres sauvages ; Outré par la douleur
- SALMON (Jacques) : O beau laurier
- SAUVAGE : Médor se mirant aux beaux yeux
- SIGNAC : Souvenir importun
- TESSIER (Charles) : La plus misérable amante
- TESSIER (Guillaume) : Amans qui vous plaignés ; Pressé d'ennuis
- VINCENT : J'ayme une fille de vilage ; Puis qu'en vous adorant
- ANONYMES : C'est un amant, ouvrez la porte ; De mes ans la fleur se desteint ; Des maux si déplorables ; Douce beauté
Ma belle si ton ame ; Rosette pour un peu d'absence
Adresse : Paris : Société Francaise de Musicologie : SEDIM, 1989 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11766 Exemplaires(2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 308 MFV ANT 10 papier Bibliothèque du CMBV Salle de lecture Consultable sur place
Disponible308-1 MFV ANT 10 papier Bibliothèque du CMBV Salle de lecture Consultable sur place
DisponibleVI. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs / Anonyme
Titre : VI. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs Type de document : PARTITIONS Auteurs : Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Étienne MOULINIÉ Editeur : Paris : Pierre Ballard Oeuvres / Expressions : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. diff auteurs. Livre 6. 1624 Importance : 61 f. Catégories : Effectif général
1 voix seule
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
A la fin cette bergère ; Absent de l'objet de mon âme ; Allez tristes soupirs ; Ballet de la reine ; Ballet du Roi ; Beaux yeux qui caches ; Celui qui dit que l'absence ; Cessez mes pensers ennuyeux ; Ciel pitoyable à mes voeux ; Cloris de son oeil amoureux ; Cloris dont la beauté ; Cruel tyran de mes désirs ; D'Où sort cette grande clarté ; Dans la prison de mes cheveux ; De tous les maux je sens ; Délivres des horreurs ; Dessus le bord de ce rivage ; En approchant le bord ; Enfin Hylas est arrêté ; Enfin la beauté que je sers ; Esprit autrefois amoureux ; FAUT-IL QUE LES PERFECTIONS ; Grandes reines dont la Victoire ; HA COMPAGNONS ; HELAS QUE DE DOULEURS ; Heureux séjour de Parthénisse ; IL SORT DE NOS CORPS ; Iris n'est plus celle ; IRIS VOS RIGUEURS IHNUMAINES ; JE NE SUIS PLUS CETTE JUNON ; JE SERS DE L'OEIL ET DE PENSER ; JE VEUX QUE LE CIEL ME PUNISSE ; L'Amour de mon âme dispose ; LANGUISSANT AU BORD DE SEINE ; LAS QUE J'ENDURE DE MARTYRE ; Le berger plein d'amour ; Mes yeux il est temps de pleurer ; MES YEUX N'AYEZ PLUS QUE DES LARMES ; Ne délibérons plus ; O rigoureuse Cloris ; O trop heureux ; Ondes qui soulevez vos voûtes ; OU FUYEZ-VOUS ; Paisible et ténébreuse nuit ; POURQUOI ME DITES-VOUS ; PUISQUE CE DIEU VAINQUEUR ; Puisque Cloris ; PUISQUE L'AMOUR ; PUISQUE L'AN EST FINI ; Quel nouveau Dieu ; QUEL SORT MERVEILLE DE LA TERRE ; QUELLE EST CETTE MERVEILLE ; QUI N'EUT ETE DECU ; Quittez cette fière rigueur ; QUOI FAUT-IL DONC ; Rochers affreux ; SI TU CROIS QUE JE SENS DU MAL ; SOLEIL RETIREZ VOTRE JOUR ; Soleils astres puissants ; Soupirant au bord de Seine ; SUS DONC PUISQU'IL LE FAUT ; Vous qui n'allégez pointRésumé : recueil Note de contenu : Provenance : Paris : BNF : Rés. Vm7 277 [6]. Contient : Ballet du Roy : - Quel sort, merveilles de la terre. - Grandes Reynes, dont la victoire. Ballet de la Reyne : - O trop heureux ceux qui de nos traits. Airs : - Iris vos rigueurs inhumaines. - Heureux sejour de Parthenisse d'Alidor. - Si tu crois que je sens du mal. - Qui n'eust esté deçeu. - Dessus le bord de ce rivage. - Je veux que le Ciel me punisse. - L'Amour de mon ame dispose. - Sus donc puis qu'il le faut. - Celuy qui dit que l'absence. - Cloris de son oeil amoureux. - Cloris, dont la beauté. - Helas ! que de douleurs. - Mes yeux n'ayez plus que des larmes. - Mes yeux il est temps de pleurer. - Le berger plein d'amour. - Cessés mes pensers ennuieux. - Dans la prison de mes cheveux. - Faut-il que les perfections. - Pourquoy me dittes vous. - Puis que l'Amour m'a fait captive. - De tous les maux je sens le pire. - O rigoureuse Cloris. - Allés tristes soupirs. - Ou fuyez vous plein d'inconstance. - Beaux yeux qui cachés la flame. - Quittez, quittez cette fiere rigueur. - Iris n'est plus celle qui nuit jour. - Quel nouveau dieu sur ce rivage. - En fin Hylas est arresté. - Puis que Cloris pour qui je meurs. - Ha ! compagnons nous voyla bien. - Le ciel pitoyable à mes voeux. - En fin la beauté que j'adore. - Soupirant au bord de Seine. - Quoy faut-il donc vous dire adieu / Guédron. - Soleil retirés vostre jour. - Absent de l'objét de mon ame. - Las ! que j'endure de martire. - Puis que l'an est fini. - Languissant au bord de Seine. - Cruel tyran de mes desirs. - A la fin cette bergere. - Quelle est cette merveille. - Puis que l'Amour vainqueur. - Ne deliberons plus. - Je sers de l'oeil, du penser. - Je ne suis plus cette Junon. Récit du Ballet des Titeurs de buttes : - Delivrés des horreurs de Mars. Ballet du Monde Renversé : - D'où sort cette grande clairté. - Il sort de nos corps. Récit : - Vous qui n'allegés point. - En aprochant le bord. - Paisible tenebreuse nuit / Mouliné - Soleils, astres puissans. - Rochers affreux, vous ô Bois. - Ondes qui souslevez vos voûtes vagabondes. - Esprits autre-fois amoureux. Adresse : Paris : P. Ballard, 1624 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Rés Vm7 277/F-Pn Musique/ Rés Vm7 277 [ 6] Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4166 VI. Livre d'Airs de cour et de différents autheurs [PARTITIONS] / Anonyme ; Pierre GUÉDRON ; Étienne MOULINIÉ . - Paris : Pierre Ballard, [s.d.] . - 61 f.
Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs de cour. diff auteurs. Livre 6. 1624
Catégories : Effectif général
1 voix seule
Mots-clés
air ; air de cour
Lieux concernés
France
Période concernée
17e siècle
Titre significatif musique
A la fin cette bergère ; Absent de l'objet de mon âme ; Allez tristes soupirs ; Ballet de la reine ; Ballet du Roi ; Beaux yeux qui caches ; Celui qui dit que l'absence ; Cessez mes pensers ennuyeux ; Ciel pitoyable à mes voeux ; Cloris de son oeil amoureux ; Cloris dont la beauté ; Cruel tyran de mes désirs ; D'Où sort cette grande clarté ; Dans la prison de mes cheveux ; De tous les maux je sens ; Délivres des horreurs ; Dessus le bord de ce rivage ; En approchant le bord ; Enfin Hylas est arrêté ; Enfin la beauté que je sers ; Esprit autrefois amoureux ; FAUT-IL QUE LES PERFECTIONS ; Grandes reines dont la Victoire ; HA COMPAGNONS ; HELAS QUE DE DOULEURS ; Heureux séjour de Parthénisse ; IL SORT DE NOS CORPS ; Iris n'est plus celle ; IRIS VOS RIGUEURS IHNUMAINES ; JE NE SUIS PLUS CETTE JUNON ; JE SERS DE L'OEIL ET DE PENSER ; JE VEUX QUE LE CIEL ME PUNISSE ; L'Amour de mon âme dispose ; LANGUISSANT AU BORD DE SEINE ; LAS QUE J'ENDURE DE MARTYRE ; Le berger plein d'amour ; Mes yeux il est temps de pleurer ; MES YEUX N'AYEZ PLUS QUE DES LARMES ; Ne délibérons plus ; O rigoureuse Cloris ; O trop heureux ; Ondes qui soulevez vos voûtes ; OU FUYEZ-VOUS ; Paisible et ténébreuse nuit ; POURQUOI ME DITES-VOUS ; PUISQUE CE DIEU VAINQUEUR ; Puisque Cloris ; PUISQUE L'AMOUR ; PUISQUE L'AN EST FINI ; Quel nouveau Dieu ; QUEL SORT MERVEILLE DE LA TERRE ; QUELLE EST CETTE MERVEILLE ; QUI N'EUT ETE DECU ; Quittez cette fière rigueur ; QUOI FAUT-IL DONC ; Rochers affreux ; SI TU CROIS QUE JE SENS DU MAL ; SOLEIL RETIREZ VOTRE JOUR ; Soleils astres puissants ; Soupirant au bord de Seine ; SUS DONC PUISQU'IL LE FAUT ; Vous qui n'allégez pointRésumé : recueil Note de contenu : Provenance : Paris : BNF : Rés. Vm7 277 [6]. Contient : Ballet du Roy : - Quel sort, merveilles de la terre. - Grandes Reynes, dont la victoire. Ballet de la Reyne : - O trop heureux ceux qui de nos traits. Airs : - Iris vos rigueurs inhumaines. - Heureux sejour de Parthenisse d'Alidor. - Si tu crois que je sens du mal. - Qui n'eust esté deçeu. - Dessus le bord de ce rivage. - Je veux que le Ciel me punisse. - L'Amour de mon ame dispose. - Sus donc puis qu'il le faut. - Celuy qui dit que l'absence. - Cloris de son oeil amoureux. - Cloris, dont la beauté. - Helas ! que de douleurs. - Mes yeux n'ayez plus que des larmes. - Mes yeux il est temps de pleurer. - Le berger plein d'amour. - Cessés mes pensers ennuieux. - Dans la prison de mes cheveux. - Faut-il que les perfections. - Pourquoy me dittes vous. - Puis que l'Amour m'a fait captive. - De tous les maux je sens le pire. - O rigoureuse Cloris. - Allés tristes soupirs. - Ou fuyez vous plein d'inconstance. - Beaux yeux qui cachés la flame. - Quittez, quittez cette fiere rigueur. - Iris n'est plus celle qui nuit jour. - Quel nouveau dieu sur ce rivage. - En fin Hylas est arresté. - Puis que Cloris pour qui je meurs. - Ha ! compagnons nous voyla bien. - Le ciel pitoyable à mes voeux. - En fin la beauté que j'adore. - Soupirant au bord de Seine. - Quoy faut-il donc vous dire adieu / Guédron. - Soleil retirés vostre jour. - Absent de l'objét de mon ame. - Las ! que j'endure de martire. - Puis que l'an est fini. - Languissant au bord de Seine. - Cruel tyran de mes desirs. - A la fin cette bergere. - Quelle est cette merveille. - Puis que l'Amour vainqueur. - Ne deliberons plus. - Je sers de l'oeil, du penser. - Je ne suis plus cette Junon. Récit du Ballet des Titeurs de buttes : - Delivrés des horreurs de Mars. Ballet du Monde Renversé : - D'où sort cette grande clairté. - Il sort de nos corps. Récit : - Vous qui n'allegés point. - En aprochant le bord. - Paisible tenebreuse nuit / Mouliné - Soleils, astres puissans. - Rochers affreux, vous ô Bois. - Ondes qui souslevez vos voûtes vagabondes. - Esprits autre-fois amoureux. Adresse : Paris : P. Ballard, 1624 Provenance (cote source) : F-Pn Musique/ Rés Vm7 277/F-Pn Musique/ Rés Vm7 277 [ 6] Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4166 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7926 NUM ANO 38 document numérique Bibliothèque du CMBV Espace Numérique Consultable sur place
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