Titre : |
recueil d'airs sérieux et à boire de différents auteurs pour l'année 1699 |
Type de document : |
musique notée |
Auteurs : |
Louis BOUTEILLER ; DUPARC ; Michel-Richard de LALANDE ; André CAMPRA ; DU BUISSON ; COLLET ; Jehan DESFONTAINES ; André Cardinal DESTOUCHES ; Pierre DANDRIEU ; Sébastien de BROSSARD ; HUBERT ; TERRIER ; POUCEIN ; Louis MARCHAND ; Nicolas MONTAILLY ; Pierre GAUTIER ; Pierre BERTHET ; Michel de LA BARRE ; Louis de LACOSTE ; DESVOYES ; CORNEILLE ; Charles-Hubert GERVAIS ; Mlle de VILM ; Jean-Baptiste DUTARTRE ; Jean-Baptiste CAPPUS ; COCO ; Jean-Ferry REBEL ; DUMONT ; ROYER ; De la TOUR ; DUPLESSIS ; REGNAULT ; Charles PIROYE ; Melle BATAILLE ; Monsieur ETOILES ; HARDOUIN ; Jean-Baptiste Drouart de BOUSSET ; Mademoiselle de VILLE |
Editeur : |
Paris : Christophe Ballard |
Année de publication : |
1699 |
Titres uniformes : |
ANTHOLOGIE. - Airs sérieux et à boire. 1699
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Importance : |
244 p. |
Catégories : |
Mots-clés air à boire ; air sérieux Lieux concernés France Période concernée 17e siècle Titre significatif musique Ah ! donnez-moi, Climène, ou la mort ou la vie ; Ah ! qu'il est doux de se rendre ! ; Aimez, charmante Iris, vous ne sauriez mieux faire ; Aimons, buvons, rien n'est si doux ; Amadis de Grèce ; Amants qui vous plaignez ; Amis de la bouteille ; Amis, graces à Bacchus, l'Amour en a dans l'aîle ; Amis, puisqu'une paix profonde ; Antre affreux, Rochers inacessibles ; Avez-vous résolu de ne me plus revoir ? ; Bacchus à moi, viens me défendre ; Bacchus par ce vin nouveau ; Beaux yeux, qui voulez dans mon Ame ; Bergers, rassemblez-vous ; Brillantes fleurs ; C'est la tendre persévérance ; C'est un bonheur charmant ; Celle qui m'accable de chaînes ; Chaque bergère du bocage ; Charmante nuit, qui faisiez mon bonheur ; Climène se plaint de moi ; Compère Gervais ; Craignez l'Amour et la colère ; D'un valet de Gentilhommière ; D'une flamme éternelle ; Dans l'horreur de la nuit sans crainte des voleurs ; De l'amour ou du vin, amis, il ne m'importe ; Dépêchons-nous, mon cher voisin ; Depuis longtemps le beau Phoebus ; Doguin disait à bichonne ; Donne donc, jeune Sylvie ; Doux habitants de ces charmants bocages ; Doux transport, trouble dangereux ; Eh ! comment la reprendre ? ; En cas de moi je ne veux pas ; En vain lui bouche-t'on les yeux ; En vain, pour oublier une beauté cruelle ; Est-ce ainsi, belle Sylvie ; Et moi j'aime l'Hiver sur toutes les saisons ; Evitons le compère Blaise ; Fuyez de nous, bergers volages ; Heureux séjour, près, bois délicieux ; HIVER DANS TOUT CE QU'IL RESPIRE ; Il est un temps ; Il est vrai qu'il faut mourir ; Importuns habitants ; Iris chantait à haute voix ; Iris, pour s'assurer mon coeur ; J'aime Tircis, et je n'ose lui dire ; J'aime un ingrat, et malgré la froideur ; Je brise enfin ma chaîne ; Je crains un engagement ; Je me ris de tes beaux yeux ; Je n'ai pas sitôt bû que je voudrais reboire ; Je ne saurais me consoler ; Je perds ma liberté pour entrer dans vos fers ; Je touche à mon heure dernière ; Je veux boire, je veux aimer ; Je veux faire toute ma gloire ; Je viens de briser ma chaîne ; Je vous dis toujours, aimez-moi ; L'Amour a des ailes ; L'Amour est fait pour la jeunesse ; L'Amour est pour tous les coeurs ; L'Amour et Bacchus ont des charmes ; L'Amour m'avait fait entendre ; L'argent, l'Amour et le vin ; L'autre jour avec Climène ; L'avare est toujours en souci ; L'Hirondelle tous les ans ; L'honneur et le premier hommage ; L'on ne saurait aimer au point que je vous aime ; La beauté qui m'a su charmer ; La Moisson est déjà faite ; Laissez-moi m'enivrer en paix ; Le cher objet de mes plus tendres feux ; Le premier jour du mois de mai ; Le Roi boit ; Le Savetier de notre coin ; Le verre en main, je prétends me dédire ; Lon lan la la bouteille s'en va ; Lorsque je bois du vin ; Ma belle est insensible ; Moi, qui fus toujours fidelle ; Ne brûlez plus mon coeur, pour la cruelle Aminte ; Ne me reprochez point, Iris, que j'aime à boire ; Non, l'on ne voit point de beaux jours ; Nous aurons donc enfin une pleine vinée ; Oh ! l'excellent vin ! ; On vous rabat vos superbes coiffures ; Pecheur convertis-toi, il faut mourir ; Petits oiseaux sous ces feuillages ; Petits oiseaux, dont les doux chants ; Plus je souffre de mal et plus j'ai de tourment ; Pour n'être point Pilotte téméraire ; Pour plaire il ne vous manque rien ; Pour savoir plaire, belle Bergère ; Pour toucher son Isabelle ; Pour un Berger, la timide Bergère ; Pour voir la Fête qu'on prépare ; Purche rie da nel mio feno ; Qu'on a de bonheur en partage ! ; Quand on aime tendrement ; Quand on est amoureux ; Que l'Amour est charmant et doux ! ; Que l'Amour est un mauvais maître ! ; Que le sommeil de votre Epoux ; Quels sentiments, belle Iris, sont les vôtres ? ; Quoi dans le Cabaret l'Amour me presse encore ? ; Quoi toujours comparer l'Amour et la bouteille ? ; Revenez, hâtez-vous, charmante Automne ; Revenez, revenez, Saison si belle ; Reviens, affreux Hiver, règne dans nos Bocages ; Rien n'est tranquille dans la vie ; S'il faut que tôt ou tard l'on aime ; Sans le secours ; Si j'avais en tout temps de l'argent à souhait ; Si tu ne prends garde à toi tu retomberas ; Sommeil favorable aux amours ; Soupirez nuit et jour, Partisans de Vénus ; Sur les côteaux, sur la fougère ; Taisez-vous, Buveurs alterés ; Telle Bergère à la danse ; Tendres soupirs, douces alarmes ; Tes yeux, ta main ; Tristes déserts, retraites sombres ; Un Berger qui m'a su plaire ; Un objet plein d'appas qui paraît en ces lieux ; Un Philosophe rêveur ; Voici la saison des beaux jours ; Vos beaux yeux par tout sont vainqueurs ; Voucs pas que gousten un jour ; Vous cachez avec soin vos peines ; Vous partez, belle Climène ; Vous, qui craignez que l'Amour ne nous blesse
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Note de contenu : |
Provenance : Paris : BnF : Vm7 532. |
Adresse : |
Paris : Christophe Ballard, 1699 |
Permalink : |
https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=12594 |
recueil d'airs sérieux et à boire de différents auteurs pour l'année 1699 [musique notée] / Louis BOUTEILLER ; DUPARC ; Michel-Richard de LALANDE ; André CAMPRA ; DU BUISSON ; COLLET ; Jehan DESFONTAINES ; André Cardinal DESTOUCHES ; Pierre DANDRIEU ; Sébastien de BROSSARD ; HUBERT ; TERRIER ; POUCEIN ; Louis MARCHAND ; Nicolas MONTAILLY ; Pierre GAUTIER ; Pierre BERTHET ; Michel de LA BARRE ; Louis de LACOSTE ; DESVOYES ; CORNEILLE ; Charles-Hubert GERVAIS ; Mlle de VILM ; Jean-Baptiste DUTARTRE ; Jean-Baptiste CAPPUS ; COCO ; Jean-Ferry REBEL ; DUMONT ; ROYER ; De la TOUR ; DUPLESSIS ; REGNAULT ; Charles PIROYE ; Melle BATAILLE ; Monsieur ETOILES ; HARDOUIN ; Jean-Baptiste Drouart de BOUSSET ; Mademoiselle de VILLE . - Paris : Christophe Ballard, 1699 . - 244 p. Oeuvre : ANTHOLOGIE. - Airs sérieux et à boire. 1699
Catégories : |
Mots-clés air à boire ; air sérieux Lieux concernés France Période concernée 17e siècle Titre significatif musique Ah ! donnez-moi, Climène, ou la mort ou la vie ; Ah ! qu'il est doux de se rendre ! ; Aimez, charmante Iris, vous ne sauriez mieux faire ; Aimons, buvons, rien n'est si doux ; Amadis de Grèce ; Amants qui vous plaignez ; Amis de la bouteille ; Amis, graces à Bacchus, l'Amour en a dans l'aîle ; Amis, puisqu'une paix profonde ; Antre affreux, Rochers inacessibles ; Avez-vous résolu de ne me plus revoir ? ; Bacchus à moi, viens me défendre ; Bacchus par ce vin nouveau ; Beaux yeux, qui voulez dans mon Ame ; Bergers, rassemblez-vous ; Brillantes fleurs ; C'est la tendre persévérance ; C'est un bonheur charmant ; Celle qui m'accable de chaînes ; Chaque bergère du bocage ; Charmante nuit, qui faisiez mon bonheur ; Climène se plaint de moi ; Compère Gervais ; Craignez l'Amour et la colère ; D'un valet de Gentilhommière ; D'une flamme éternelle ; Dans l'horreur de la nuit sans crainte des voleurs ; De l'amour ou du vin, amis, il ne m'importe ; Dépêchons-nous, mon cher voisin ; Depuis longtemps le beau Phoebus ; Doguin disait à bichonne ; Donne donc, jeune Sylvie ; Doux habitants de ces charmants bocages ; Doux transport, trouble dangereux ; Eh ! comment la reprendre ? ; En cas de moi je ne veux pas ; En vain lui bouche-t'on les yeux ; En vain, pour oublier une beauté cruelle ; Est-ce ainsi, belle Sylvie ; Et moi j'aime l'Hiver sur toutes les saisons ; Evitons le compère Blaise ; Fuyez de nous, bergers volages ; Heureux séjour, près, bois délicieux ; HIVER DANS TOUT CE QU'IL RESPIRE ; Il est un temps ; Il est vrai qu'il faut mourir ; Importuns habitants ; Iris chantait à haute voix ; Iris, pour s'assurer mon coeur ; J'aime Tircis, et je n'ose lui dire ; J'aime un ingrat, et malgré la froideur ; Je brise enfin ma chaîne ; Je crains un engagement ; Je me ris de tes beaux yeux ; Je n'ai pas sitôt bû que je voudrais reboire ; Je ne saurais me consoler ; Je perds ma liberté pour entrer dans vos fers ; Je touche à mon heure dernière ; Je veux boire, je veux aimer ; Je veux faire toute ma gloire ; Je viens de briser ma chaîne ; Je vous dis toujours, aimez-moi ; L'Amour a des ailes ; L'Amour est fait pour la jeunesse ; L'Amour est pour tous les coeurs ; L'Amour et Bacchus ont des charmes ; L'Amour m'avait fait entendre ; L'argent, l'Amour et le vin ; L'autre jour avec Climène ; L'avare est toujours en souci ; L'Hirondelle tous les ans ; L'honneur et le premier hommage ; L'on ne saurait aimer au point que je vous aime ; La beauté qui m'a su charmer ; La Moisson est déjà faite ; Laissez-moi m'enivrer en paix ; Le cher objet de mes plus tendres feux ; Le premier jour du mois de mai ; Le Roi boit ; Le Savetier de notre coin ; Le verre en main, je prétends me dédire ; Lon lan la la bouteille s'en va ; Lorsque je bois du vin ; Ma belle est insensible ; Moi, qui fus toujours fidelle ; Ne brûlez plus mon coeur, pour la cruelle Aminte ; Ne me reprochez point, Iris, que j'aime à boire ; Non, l'on ne voit point de beaux jours ; Nous aurons donc enfin une pleine vinée ; Oh ! l'excellent vin ! ; On vous rabat vos superbes coiffures ; Pecheur convertis-toi, il faut mourir ; Petits oiseaux sous ces feuillages ; Petits oiseaux, dont les doux chants ; Plus je souffre de mal et plus j'ai de tourment ; Pour n'être point Pilotte téméraire ; Pour plaire il ne vous manque rien ; Pour savoir plaire, belle Bergère ; Pour toucher son Isabelle ; Pour un Berger, la timide Bergère ; Pour voir la Fête qu'on prépare ; Purche rie da nel mio feno ; Qu'on a de bonheur en partage ! ; Quand on aime tendrement ; Quand on est amoureux ; Que l'Amour est charmant et doux ! ; Que l'Amour est un mauvais maître ! ; Que le sommeil de votre Epoux ; Quels sentiments, belle Iris, sont les vôtres ? ; Quoi dans le Cabaret l'Amour me presse encore ? ; Quoi toujours comparer l'Amour et la bouteille ? ; Revenez, hâtez-vous, charmante Automne ; Revenez, revenez, Saison si belle ; Reviens, affreux Hiver, règne dans nos Bocages ; Rien n'est tranquille dans la vie ; S'il faut que tôt ou tard l'on aime ; Sans le secours ; Si j'avais en tout temps de l'argent à souhait ; Si tu ne prends garde à toi tu retomberas ; Sommeil favorable aux amours ; Soupirez nuit et jour, Partisans de Vénus ; Sur les côteaux, sur la fougère ; Taisez-vous, Buveurs alterés ; Telle Bergère à la danse ; Tendres soupirs, douces alarmes ; Tes yeux, ta main ; Tristes déserts, retraites sombres ; Un Berger qui m'a su plaire ; Un objet plein d'appas qui paraît en ces lieux ; Un Philosophe rêveur ; Voici la saison des beaux jours ; Vos beaux yeux par tout sont vainqueurs ; Voucs pas que gousten un jour ; Vous cachez avec soin vos peines ; Vous partez, belle Climène ; Vous, qui craignez que l'Amour ne nous blesse
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Note de contenu : |
Provenance : Paris : BnF : Vm7 532. |
Adresse : |
Paris : Christophe Ballard, 1699 |
Permalink : |
https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=12594 |
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