Titre : |
Les Airs de Cour |
Type de document : |
musique notée |
Auteurs : |
Pierre GUÉDRON ; Georgie DUROSOIR, Editeur scientifique ; Eric BELLOCQ, Collaborateur |
Editeur : |
Versailles : Centre de Musique Baroque de Versailles |
Titres uniformes : |
GUÉDRON, P. - Airs de cour. Intégrale
|
Importance : |
719 p. |
Note générale : |
transcription des tablatures de luth / Eric Bellocq |
Catégories : |
Mots-clés air de cour Lieux concernés France Période concernée 17e siècle
|
Note de contenu : |
À ce coup j'ai rompu les chaînes
À la fin ce berger (1602) (1608)
À la fin ce tyran des cœurs
À la fin je vois les beaux yeux
À la fin vous m'avez quitté
À la force ah le traître me mord
À Paris sur petit pont (1602)(1608)
Adieu bergère pour jamais
Adorable Princesse
Aimer d'un désir insensé
Aimons belle aimons-nous
Allez courez cherchez de toutes parts
Allons ma mignonne
Allons n'attendons plus mettons-nous au servage
Amour blesse mon sein
Amour est un plaisir si doux
Amour j'avouerai désormais
Amour par les yeux d'une dame
Amour si ma longue amitié
Aux plaisirs aux délices bergères
Beautés pour qui le ciel n'a dieu que ne se plaise
Beaux yeux dont j'estimais les regards sans malice
Beaux yeux les doux vainqueurs de mon cœur
Belle d'où vient ce fier dédain
Belle je maudirais le jour
Belle qui m'avez blessé d'un trait si doux
Berger en passant (1597) (1602)
Berger que pensez-vous faire
Bien qu'un cruel martyre
Bien que d'une beauté le pouvoir soit extrême
Bien que le ciel par trop de rigueur
C'en est fait je ne verrai plus
C'est trop courir les eaux
C'est une damoiselle (1602) (1608)
Cachant d'une liesse feinte
Ce petit monarque des cœurs
Ces nymphes dont les regards
Cesse tes pleurs belle Uranie
Cessez mortels de soupirer
Cette Anne si belle
Cette Princesse dont le nom
Cloris si vos beauté j'honore
Courrier du mardi-gras qui soupire et qui pleure
Cruelle départie
D'un même vent madame (1602) (1608)
D'un si doux trait ma poitrine est atteinte (1609) (1610)
Dans les eaux où l'Amour ses rigueurs fait sentir
De quelle ingrate récompense (1602) (1608)
Déserts témoins de mes pensées
Dessus la rive de la mer y a trois belles filles
Destin qui séparez par d'extrêmes rigueurs
Dieu vous gard bergerette (1597) (1613)
Donc cette merveille des cieux
Donc pour aimer d'un amour trop fidèle
Doncques celle de qui mon coeur
Doncques par force tu pourchasses
En ce bois si beau je m'amuse (1602) (1608)
En place marchande
Enfin celle que j'aime tant
Enfin ces beaux yeux
Enfin l'excès de mon amour
Enfin la voici nous voyons ces beaux yeux
Enfin le ciel a retiré
Enfin le juste ciel à mes voeux pitoyable
Enfin mon beau soleil qui rend dès qu'il s'absente
Esprits qu'un fol amour aux voluptés inspire
Esprits qui soupirez tant d'amoureuses plaintes
Est-ce Mars le grand dieu des alarmes
Est-ce un arrêt du ciel que mon âme asservie
Françaises déités qui faites qu'on respire
Fuyez amants loin de ces lieux
Grand Roi qui portes en tous lieux
Ha Philis je te tiens tu ne me peux fuir
Hé bien ma rebelle
Hé pourquoi n'oserais-je dire
Heureux qui nuit et jour
Heureux qui peut se plaindre
Holà Caron nautonier infernal
Il est donc vrai volage
Il est temps désormais que le ciel et la terre
Il est vrai Cloris que j'adore
J'ai trop et trop longtemps suivi
J'aime bien mieux nonne me rendre
J'aime la belle violette
J'aime les bois tant seulement (1602) (1608)
Je meurs de revoir ce bel œil
Je ne m'étonne pas si l'Amour pour la terre
Je ne me marierai jamais je serai religieuse
Je ne puis m'entretenir
Je pardonne aux esprits
Je pensais que votre âme (1602) (1608)
Je puis donc revoir encore (1610) (1613)
Je rencontrai l'autre jour
Je suis bon garçon je n'y pense en nul mal
Je voudrais bien chanter ta gloire et tes louanges
Jeune beauté qui ne sait pas
Karite de qui le bel œil
La voici la nacelle d'amour
Las fuiras-tu toujours de peur d'ouïr mes plaintes
Las pourquoi ne suis-je née
Las qui hâtera le temps
Le premier jour que je vis
Les grands palais admirables
Lorsque j'étais petite garce (1602) (1608)
Lorsque Léandre amoureux passant à la nage l'Hélespont
Ma belle vos mignardises
Ma foline folinette
Madelon je te suis
Maintenant les dieux ont quitté les cieux
Maintenant les vertus sacrées
Maintenant que les coeurs sont tous pleins d'amour
Me voudriez-vous ma guerrière
Misérable Cléandre
Mon âme est si fort blessée
Mortels si quelque humeur chagrine
Ne saurait-on avoir bon temps
Ne vous étonnez point inconstante beauté
Ne vous offensez madame
Noires fureurs ombres sans corps
Ô destin par trop rigoureux
Ô dieux quel est le sort dont je suis poursuivie
Ô grands dieux que de charmes
Où luis-tu soleil de mon âme (1602) (1608)
Où sont nos palais dorés
Parmi les malheurs qui m'assaillent
Passion insensée
Philine est parmi ces déserts
Philis c'est trop soupiré
Plutôt que je la die (1602) (1608)
Pourquoi le ciel à mon malheur (1597) (1608)
Pues que me das a escoger
Puisqu'il faut désormais que j'éteigne ma flamme
Puisqu'il faut hélas que je meure (1597) (1608)
Puisque le ciel veut ainsi que mon mal je regrette
Puisque le silence
Puisque les ans n'ont qu'un printemps
Puisque votre âme inconstante
Qu'Aminte fut heureux
Qu'on ne me parle plus d'amour
Quand je méprisais les lois (1602) (1608)
Quand l'infidèle usait envers moi de ses charmes
Quand la troupe insensée
Quand le flambeau du monde
Quand pour Philis mon coeur tout plein de flamme
Que de dames que de flammes
Que dit-on au village
Que je plains tous ces esprits
Que me servait de me résoudre
Que n'êtes-vous lassées
Que te sert-il enfant volage
Quel espoir de guérir
Quel excès de douleur en cet éloignement
Quel fruit espères-tu de ta changeante humeur (1595) (1596) (1608)
Quel subit changement quelles dures nouvelles
Quelle source de malheurs
Quels malheurs quels fâcheux désastres
Quoi faut-il donc qu'Amour vainqueur
Quoi que l'on me puisse dire
Reine des gens pleins de loisir
Reines voici la belle Cypris
Rien ne s'oppose à mes lois
S'il est loisible de se plaindre
Secours mes dames
Séjour de la divinité
Si c'est pour mon pucelage (1602) (1608)
Si cette malheureuse bande
Si chacun sait que je vous aime
Si jamais mon âme blessée
Si le parler et le silence
Si tu veux apprendre les pas à danser (1602) (1608)
Soit que je sois près de ma belle
Soupirs mêlés d'amour de douleurs et de rage
Sus bergers et bergerettes
Tant et tant il m'ennuie tant (1597) (1613)
Tirsis autrefois le délice
Toi de qui la rigueur m'a fait cesser de vivre
Un jour disant à ma belle
Un jour l'amoureuse Sylvie
Voici le temps bergère
Voici mes chères soeurs voici ces grands soleils
Vois-je pas un soleil s'élevant
Votre coeur léger et volage
Votre héros n'est plus en servage
Vous défendez que l'on vous aime
Vous que le bonheur rappelle (1602) (1608)
Vous qui cherchez les lieux |
Adresse : |
Versailles : C.M.B.V., 2009 |
Permalink : |
https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=13532 |
Les Airs de Cour [musique notée] / Pierre GUÉDRON ; Georgie DUROSOIR, Editeur scientifique ; Eric BELLOCQ, Collaborateur . - Versailles : Centre de Musique Baroque de Versailles, [s.d.] . - 719 p. Oeuvre : GUÉDRON, P. - Airs de cour. Intégraletranscription des tablatures de luth / Eric Bellocq
Catégories : |
Mots-clés air de cour Lieux concernés France Période concernée 17e siècle
|
Note de contenu : |
À ce coup j'ai rompu les chaînes
À la fin ce berger (1602) (1608)
À la fin ce tyran des cœurs
À la fin je vois les beaux yeux
À la fin vous m'avez quitté
À la force ah le traître me mord
À Paris sur petit pont (1602)(1608)
Adieu bergère pour jamais
Adorable Princesse
Aimer d'un désir insensé
Aimons belle aimons-nous
Allez courez cherchez de toutes parts
Allons ma mignonne
Allons n'attendons plus mettons-nous au servage
Amour blesse mon sein
Amour est un plaisir si doux
Amour j'avouerai désormais
Amour par les yeux d'une dame
Amour si ma longue amitié
Aux plaisirs aux délices bergères
Beautés pour qui le ciel n'a dieu que ne se plaise
Beaux yeux dont j'estimais les regards sans malice
Beaux yeux les doux vainqueurs de mon cœur
Belle d'où vient ce fier dédain
Belle je maudirais le jour
Belle qui m'avez blessé d'un trait si doux
Berger en passant (1597) (1602)
Berger que pensez-vous faire
Bien qu'un cruel martyre
Bien que d'une beauté le pouvoir soit extrême
Bien que le ciel par trop de rigueur
C'en est fait je ne verrai plus
C'est trop courir les eaux
C'est une damoiselle (1602) (1608)
Cachant d'une liesse feinte
Ce petit monarque des cœurs
Ces nymphes dont les regards
Cesse tes pleurs belle Uranie
Cessez mortels de soupirer
Cette Anne si belle
Cette Princesse dont le nom
Cloris si vos beauté j'honore
Courrier du mardi-gras qui soupire et qui pleure
Cruelle départie
D'un même vent madame (1602) (1608)
D'un si doux trait ma poitrine est atteinte (1609) (1610)
Dans les eaux où l'Amour ses rigueurs fait sentir
De quelle ingrate récompense (1602) (1608)
Déserts témoins de mes pensées
Dessus la rive de la mer y a trois belles filles
Destin qui séparez par d'extrêmes rigueurs
Dieu vous gard bergerette (1597) (1613)
Donc cette merveille des cieux
Donc pour aimer d'un amour trop fidèle
Doncques celle de qui mon coeur
Doncques par force tu pourchasses
En ce bois si beau je m'amuse (1602) (1608)
En place marchande
Enfin celle que j'aime tant
Enfin ces beaux yeux
Enfin l'excès de mon amour
Enfin la voici nous voyons ces beaux yeux
Enfin le ciel a retiré
Enfin le juste ciel à mes voeux pitoyable
Enfin mon beau soleil qui rend dès qu'il s'absente
Esprits qu'un fol amour aux voluptés inspire
Esprits qui soupirez tant d'amoureuses plaintes
Est-ce Mars le grand dieu des alarmes
Est-ce un arrêt du ciel que mon âme asservie
Françaises déités qui faites qu'on respire
Fuyez amants loin de ces lieux
Grand Roi qui portes en tous lieux
Ha Philis je te tiens tu ne me peux fuir
Hé bien ma rebelle
Hé pourquoi n'oserais-je dire
Heureux qui nuit et jour
Heureux qui peut se plaindre
Holà Caron nautonier infernal
Il est donc vrai volage
Il est temps désormais que le ciel et la terre
Il est vrai Cloris que j'adore
J'ai trop et trop longtemps suivi
J'aime bien mieux nonne me rendre
J'aime la belle violette
J'aime les bois tant seulement (1602) (1608)
Je meurs de revoir ce bel œil
Je ne m'étonne pas si l'Amour pour la terre
Je ne me marierai jamais je serai religieuse
Je ne puis m'entretenir
Je pardonne aux esprits
Je pensais que votre âme (1602) (1608)
Je puis donc revoir encore (1610) (1613)
Je rencontrai l'autre jour
Je suis bon garçon je n'y pense en nul mal
Je voudrais bien chanter ta gloire et tes louanges
Jeune beauté qui ne sait pas
Karite de qui le bel œil
La voici la nacelle d'amour
Las fuiras-tu toujours de peur d'ouïr mes plaintes
Las pourquoi ne suis-je née
Las qui hâtera le temps
Le premier jour que je vis
Les grands palais admirables
Lorsque j'étais petite garce (1602) (1608)
Lorsque Léandre amoureux passant à la nage l'Hélespont
Ma belle vos mignardises
Ma foline folinette
Madelon je te suis
Maintenant les dieux ont quitté les cieux
Maintenant les vertus sacrées
Maintenant que les coeurs sont tous pleins d'amour
Me voudriez-vous ma guerrière
Misérable Cléandre
Mon âme est si fort blessée
Mortels si quelque humeur chagrine
Ne saurait-on avoir bon temps
Ne vous étonnez point inconstante beauté
Ne vous offensez madame
Noires fureurs ombres sans corps
Ô destin par trop rigoureux
Ô dieux quel est le sort dont je suis poursuivie
Ô grands dieux que de charmes
Où luis-tu soleil de mon âme (1602) (1608)
Où sont nos palais dorés
Parmi les malheurs qui m'assaillent
Passion insensée
Philine est parmi ces déserts
Philis c'est trop soupiré
Plutôt que je la die (1602) (1608)
Pourquoi le ciel à mon malheur (1597) (1608)
Pues que me das a escoger
Puisqu'il faut désormais que j'éteigne ma flamme
Puisqu'il faut hélas que je meure (1597) (1608)
Puisque le ciel veut ainsi que mon mal je regrette
Puisque le silence
Puisque les ans n'ont qu'un printemps
Puisque votre âme inconstante
Qu'Aminte fut heureux
Qu'on ne me parle plus d'amour
Quand je méprisais les lois (1602) (1608)
Quand l'infidèle usait envers moi de ses charmes
Quand la troupe insensée
Quand le flambeau du monde
Quand pour Philis mon coeur tout plein de flamme
Que de dames que de flammes
Que dit-on au village
Que je plains tous ces esprits
Que me servait de me résoudre
Que n'êtes-vous lassées
Que te sert-il enfant volage
Quel espoir de guérir
Quel excès de douleur en cet éloignement
Quel fruit espères-tu de ta changeante humeur (1595) (1596) (1608)
Quel subit changement quelles dures nouvelles
Quelle source de malheurs
Quels malheurs quels fâcheux désastres
Quoi faut-il donc qu'Amour vainqueur
Quoi que l'on me puisse dire
Reine des gens pleins de loisir
Reines voici la belle Cypris
Rien ne s'oppose à mes lois
S'il est loisible de se plaindre
Secours mes dames
Séjour de la divinité
Si c'est pour mon pucelage (1602) (1608)
Si cette malheureuse bande
Si chacun sait que je vous aime
Si jamais mon âme blessée
Si le parler et le silence
Si tu veux apprendre les pas à danser (1602) (1608)
Soit que je sois près de ma belle
Soupirs mêlés d'amour de douleurs et de rage
Sus bergers et bergerettes
Tant et tant il m'ennuie tant (1597) (1613)
Tirsis autrefois le délice
Toi de qui la rigueur m'a fait cesser de vivre
Un jour disant à ma belle
Un jour l'amoureuse Sylvie
Voici le temps bergère
Voici mes chères soeurs voici ces grands soleils
Vois-je pas un soleil s'élevant
Votre coeur léger et volage
Votre héros n'est plus en servage
Vous défendez que l'on vous aime
Vous que le bonheur rappelle (1602) (1608)
Vous qui cherchez les lieux |
Adresse : |
Versailles : C.M.B.V., 2009 |
Permalink : |
https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=13532 |
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