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Auteur Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET |
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L'oratorio / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
Titre : L'oratorio Type de document : TEXTES Auteurs : Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET Note générale : La Tribune de Saint-Gervais, I/11 (novembre 1895), p. 1-3 ; I/12 (décembre 1895), p. 1-5 ; II/1 (janvier 1896), p. 1-6 ; II/2 (février 1896), p. 17-19 Catégories : Mots-clés
oratorioSignalement bibliographique : Document non consultable au cmbv Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=16543 L'oratorio [TEXTES] / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET . - [s.d.].
La Tribune de Saint-Gervais, I/11 (novembre 1895), p. 1-3 ; I/12 (décembre 1895), p. 1-5 ; II/1 (janvier 1896), p. 1-6 ; II/2 (février 1896), p. 17-19
Catégories : Mots-clés
oratorioSignalement bibliographique : Document non consultable au cmbv Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=16543 Les "Oratorios" de Carissimi / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
Titre : Les "Oratorios" de Carissimi Type de document : TEXTES Auteurs : Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET Note générale : Rivista musicale italiana, IV (1897) p. 460-483 Catégories : Mots-clés
oratorio
Personnes concernées
CARISSIMI, GiacomoSignalement bibliographique : Document non consultable au cmbv Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=16547 Les "Oratorios" de Carissimi [TEXTES] / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET . - [s.d.].
Rivista musicale italiana, IV (1897) p. 460-483
Catégories : Mots-clés
oratorio
Personnes concernées
CARISSIMI, GiacomoSignalement bibliographique : Document non consultable au cmbv Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=16547 Un oublié de Fétis : Nicolas Formé, maître de la chapelle de Henri IV et de Louis XIII / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
Titre : Un oublié de Fétis : Nicolas Formé, maître de la chapelle de Henri IV et de Louis XIII Type de document : TEXTES Auteurs : Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET Note générale : Extrait de : Archives historiques, critiques et littéraires, 2 (1er décembre 1889), p. 64-69. - BnF [F-Pn Musique/ Bp 238] Catégories : Personnes concernées
FORMÉ, Nicolas
Lieux concernés
France ; PARIS ; SAINT GERMAIN EN LAYE
Période concernée
17e siècleSignalement bibliographique : Document non consultable au cmbv Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=16528 Un oublié de Fétis : Nicolas Formé, maître de la chapelle de Henri IV et de Louis XIII [TEXTES] / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET . - [s.d.].
Extrait de : Archives historiques, critiques et littéraires, 2 (1er décembre 1889), p. 64-69. - BnF [F-Pn Musique/ Bp 238]
Catégories : Personnes concernées
FORMÉ, Nicolas
Lieux concernés
France ; PARIS ; SAINT GERMAIN EN LAYE
Période concernée
17e siècleSignalement bibliographique : Document non consultable au cmbv Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=16528 Palestrina et l'Abbé de Baume / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
Titre : Palestrina et l'Abbé de Baume Type de document : TEXTES Auteurs : Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET Note générale : La Tribune de Saint-Gervais, IV/7 (juillet 1898), p. 166-168 Catégories : Personnes concernées
PALESTRINA, Giovanni Perluigi daNote de contenu : PALESTRINA ET L'ABBÉ DE BAUME (texte intégral de l'article) :
Les moyens d'existence d'un artiste différaient complètement, au seizième siècle, de ceux que les moeurs modernes et les lois sur la propriété artistique ont établis de notre temps, L'éditeur, au sens actuel du mot, n'existait pas. De nombreuses presses musicales, fonctionnant dans presque toutes les grandes villes, mettaient au jour des oeuvres dont les frais de publication étaient couverts tantôt par l'auteur, tantôt par l'imprimeur, souvent par un Mécène intelligent et généreux. Le privilège, ou droit de propriété, toujours limité à une très courte durée, restait sans garantie efficace, en sorte que le succès d'une oeuvre pouvait donner naissance à des rééditions multipliées, sans que l'auteur en soit matériellement récompensé. L'usage s'était donc établi de dédier les publications nouvelles à de hauts personnages, sur la munificence desquels l'artiste croyait pouvoir compter.
Au moyen âge, les chevaliers ravis par le talent d'un jongleur se dépouillaient, pour le lui jeter, de leur manteau fourré de vair. Quoique la condition des artistes se fût grandement relevée en l'espace de deux ou trois siècles, la plupart d'entre eux se trouvaient encore, en pleine Renaissance, dans un état de quasi-domesticité ou tout au moins de profonde humilité vis-à -vis les possesseurs du pouvoir ou de la richesse. Heureusement, la vanité des princes faisait envisager, à ceux même que les choses de l'esprit auraient autrement laissés indifférents, le rôle de protecteurs des arts comme une partie obligée de leurs devoirs sociaux ou du luxe de leur cour ; en sorte que les rivalités orgueilleuses de souverain à souverain tournaient quelquefois au profit des artistes. La réunion des dédicaces d'ouvrages musicaux imprimés au seizième siècle formerait une espèce d'armorial ou de catalogue des notabilités princières, ecclésiastiques ou financières du temps. Celles de Giovanni Pierluigi da Palestrina sont d'un haut intérêt pour sa biographie, puisqu'elles nous présentent la succession de ses protecteurs, ou du moins des personnes dont il escomptait l'appui. Des quinze Papes sous le règne desquels s'écoula sa vie, quatre figurent dans la liste de ses dédicaces : Jules III, Grégoire XIII, Sixte V et Grégoire XIV. Après sa mort, son fils Hygin offrit à Clément VIII le septième livre des messes. Le roi d'Espagne Philippe II, le duc de Mantoue, le duc de Ferrare Alphonse II, le duc Guillaume de Bavière (maître et protecteur d'Orlando de Lassus), représentent dans cette nomenclature les maisons régnantes ; on rencontre auprès d'eux le duc de Sora, Giacomo Buoncompagni, puis un groupe de cardinaux : Rodolphe Pio, Hippolyte d'Este, André Bathori, Aldobrandini; et enfin un Franc-Comtois, l'abbé de Baume, le seul de nos compatriotes que l'on puisse ranger parmi les admirateurs ou les protecteurs de Palestrina. Tandis qu'il avait eu l'ennui sensible de ne recevoir ni présent, ni réponse, après la double dédicace à Philippe II du deuxième et du troisième livre de Messes, il semble que Pierluigi ait compté Antoine, abbé de Baume, parmi ses patrons effectifs : car les termes à la fois chaleureux et très humbles par lesquels il lui dédia en 1503 ses deux livres d'Offertoires font explicitement allusion aux bienfaits reçus. Antoine de La Baume Saint-Amour, clerc du diocèse de Lyon, avait été nommé le 21 mars 1583, par Grégoire XIII, coadjuteur du célèbre Guillaume de Poupet, abbé du monastère de Baume-les-Moines (1), dans le comté de Bourgogne, et Guillaume de Poupet étant mort le 13 septembre de la même année, Antoine de La Baume Saint-Amour lui succéda. Le couvent de Beaume ou Baume-les-Moines, Baume-les-Messieurs (en latin Balma, aujourd'hui Baume, canton de Voiteur, arrondissement de Lons-le-Saulnier), placé dans un site sauvage du Jura, avait été fondé par saint Colomban, dans les dernières années du sixième siècle, et avait compté parmi ses religieux le célèbre Odon de Cluny. Depuis 1555, il fallait pour y être reçu faire preuve de seize quartiers de noblesse. Les religieux appartenaient à l'Ordre de Saint-Benoît (règle de Cluny), mais vivaient en séculiers, ayant chacun leur maison, leur table et leurs domestiques. Guillaume de Poupet, qui résidait habituellement Baume, reconstruisit ou répara à ses frais le monastère et l'église (qui est aujourd'hui paroissiale, et classée dans les monuments historiques). Antoine de La Baume Saint-Amour, moins fidèle à la résidence de son abbaye, ne put connaître qu'à Rome le musicien qui lui fit l'honneur d'attacher son nom au titre d'une de ses plus belles oeuvres. Après les comices de Bourgogne, auxquels il assista en 1598, l'abbé Antoine quitta Baume-les-Moines en 1601, pour devenir abbé de Luxeuil, où il mourut le 6 ou 7 septembre 1622 (2). Michel BRENET
(1) Par une erreur assez étrange chez deux écrivains ecclésiastiques, Baini et M. Haberl ont désigné le protecteur de Palestrina comme abbé du monastère féminin de Baume-les-Dames, qui était gouverné naturellement par une abbesse.
(2) Voir Galia Christia1ta, t. XV (Diocèse de Besançon), col. 161 et 181. - Rousset, Dictionnaire des communes de la Franche-Comté, t.1, p. 160 et suiv. - B. Prost, Essai hist. sur les origines de l'abbaye de Baume-les-Momes, dans les Mémoires de la Société d'émulation du Jura, année 1871-1872, p.21 et suiv.Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=16538 Palestrina et l'Abbé de Baume [TEXTES] / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET . - [s.d.].
La Tribune de Saint-Gervais, IV/7 (juillet 1898), p. 166-168
Catégories : Personnes concernées
PALESTRINA, Giovanni Perluigi daNote de contenu : PALESTRINA ET L'ABBÉ DE BAUME (texte intégral de l'article) :
Les moyens d'existence d'un artiste différaient complètement, au seizième siècle, de ceux que les moeurs modernes et les lois sur la propriété artistique ont établis de notre temps, L'éditeur, au sens actuel du mot, n'existait pas. De nombreuses presses musicales, fonctionnant dans presque toutes les grandes villes, mettaient au jour des oeuvres dont les frais de publication étaient couverts tantôt par l'auteur, tantôt par l'imprimeur, souvent par un Mécène intelligent et généreux. Le privilège, ou droit de propriété, toujours limité à une très courte durée, restait sans garantie efficace, en sorte que le succès d'une oeuvre pouvait donner naissance à des rééditions multipliées, sans que l'auteur en soit matériellement récompensé. L'usage s'était donc établi de dédier les publications nouvelles à de hauts personnages, sur la munificence desquels l'artiste croyait pouvoir compter.
Au moyen âge, les chevaliers ravis par le talent d'un jongleur se dépouillaient, pour le lui jeter, de leur manteau fourré de vair. Quoique la condition des artistes se fût grandement relevée en l'espace de deux ou trois siècles, la plupart d'entre eux se trouvaient encore, en pleine Renaissance, dans un état de quasi-domesticité ou tout au moins de profonde humilité vis-à -vis les possesseurs du pouvoir ou de la richesse. Heureusement, la vanité des princes faisait envisager, à ceux même que les choses de l'esprit auraient autrement laissés indifférents, le rôle de protecteurs des arts comme une partie obligée de leurs devoirs sociaux ou du luxe de leur cour ; en sorte que les rivalités orgueilleuses de souverain à souverain tournaient quelquefois au profit des artistes. La réunion des dédicaces d'ouvrages musicaux imprimés au seizième siècle formerait une espèce d'armorial ou de catalogue des notabilités princières, ecclésiastiques ou financières du temps. Celles de Giovanni Pierluigi da Palestrina sont d'un haut intérêt pour sa biographie, puisqu'elles nous présentent la succession de ses protecteurs, ou du moins des personnes dont il escomptait l'appui. Des quinze Papes sous le règne desquels s'écoula sa vie, quatre figurent dans la liste de ses dédicaces : Jules III, Grégoire XIII, Sixte V et Grégoire XIV. Après sa mort, son fils Hygin offrit à Clément VIII le septième livre des messes. Le roi d'Espagne Philippe II, le duc de Mantoue, le duc de Ferrare Alphonse II, le duc Guillaume de Bavière (maître et protecteur d'Orlando de Lassus), représentent dans cette nomenclature les maisons régnantes ; on rencontre auprès d'eux le duc de Sora, Giacomo Buoncompagni, puis un groupe de cardinaux : Rodolphe Pio, Hippolyte d'Este, André Bathori, Aldobrandini; et enfin un Franc-Comtois, l'abbé de Baume, le seul de nos compatriotes que l'on puisse ranger parmi les admirateurs ou les protecteurs de Palestrina. Tandis qu'il avait eu l'ennui sensible de ne recevoir ni présent, ni réponse, après la double dédicace à Philippe II du deuxième et du troisième livre de Messes, il semble que Pierluigi ait compté Antoine, abbé de Baume, parmi ses patrons effectifs : car les termes à la fois chaleureux et très humbles par lesquels il lui dédia en 1503 ses deux livres d'Offertoires font explicitement allusion aux bienfaits reçus. Antoine de La Baume Saint-Amour, clerc du diocèse de Lyon, avait été nommé le 21 mars 1583, par Grégoire XIII, coadjuteur du célèbre Guillaume de Poupet, abbé du monastère de Baume-les-Moines (1), dans le comté de Bourgogne, et Guillaume de Poupet étant mort le 13 septembre de la même année, Antoine de La Baume Saint-Amour lui succéda. Le couvent de Beaume ou Baume-les-Moines, Baume-les-Messieurs (en latin Balma, aujourd'hui Baume, canton de Voiteur, arrondissement de Lons-le-Saulnier), placé dans un site sauvage du Jura, avait été fondé par saint Colomban, dans les dernières années du sixième siècle, et avait compté parmi ses religieux le célèbre Odon de Cluny. Depuis 1555, il fallait pour y être reçu faire preuve de seize quartiers de noblesse. Les religieux appartenaient à l'Ordre de Saint-Benoît (règle de Cluny), mais vivaient en séculiers, ayant chacun leur maison, leur table et leurs domestiques. Guillaume de Poupet, qui résidait habituellement Baume, reconstruisit ou répara à ses frais le monastère et l'église (qui est aujourd'hui paroissiale, et classée dans les monuments historiques). Antoine de La Baume Saint-Amour, moins fidèle à la résidence de son abbaye, ne put connaître qu'à Rome le musicien qui lui fit l'honneur d'attacher son nom au titre d'une de ses plus belles oeuvres. Après les comices de Bourgogne, auxquels il assista en 1598, l'abbé Antoine quitta Baume-les-Moines en 1601, pour devenir abbé de Luxeuil, où il mourut le 6 ou 7 septembre 1622 (2). Michel BRENET
(1) Par une erreur assez étrange chez deux écrivains ecclésiastiques, Baini et M. Haberl ont désigné le protecteur de Palestrina comme abbé du monastère féminin de Baume-les-Dames, qui était gouverné naturellement par une abbesse.
(2) Voir Galia Christia1ta, t. XV (Diocèse de Besançon), col. 161 et 181. - Rousset, Dictionnaire des communes de la Franche-Comté, t.1, p. 160 et suiv. - B. Prost, Essai hist. sur les origines de l'abbaye de Baume-les-Momes, dans les Mémoires de la Société d'émulation du Jura, année 1871-1872, p.21 et suiv.Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=16538 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PMB1401 NUM TP BRE 08 archives numériques Bibliothèque du CMBV Espace Numérique Consultable sur place
DisponibleLa plus ancienne méthode française de musique / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
Titre : La plus ancienne méthode française de musique : Réimpression de "L'Art, Science et pratique de plaine musique" avec introduction et appendice Type de document : TEXTES Auteurs : Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET Importance : Pagination multiple Note générale : La Tribune de Saint-Gervais, 1907 Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=17609 La plus ancienne méthode française de musique : Réimpression de "L'Art, Science et pratique de plaine musique" avec introduction et appendice [TEXTES] / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET . - [s.d.] . - Pagination multiple.
La Tribune de Saint-Gervais, 1907
Permalink : https://bibliotheque.cmbv.fr/index.php?lvl=notice_display&id=17609 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PMB2442 NUM LIV 12 BRE 01 archives numériques Bibliothèque du CMBV Espace Numérique Consultable sur place
DisponiblePermalinkQuatre femmes musiciennes : Mademoiselle Jacquet de La Guerre / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
PermalinkQuelques musiciens français du XVIIIe siècle : Les Le Clerc / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
PermalinkQuelques passages concernant la musique dans Les poésies de Jehan Molinet / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
PermalinkRameau : essai de bibliographie / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
PermalinkPermalinkUn règlement pour les enfants de choeur de la Chapelle de Versailles : XVIIIe siècle / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
PermalinkSébastien de Brossard : prêtre, compositeur, écrivain et bibliophile : 165... - 1730 : d'après ses papiers inédits / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
PermalinkSébastien de Brossard : prêtre, compositeur, écrivain et bibliophile : 165... - 1730 : d'après ses papiers inédits / Michel [Pseud. de Marie BOBILLIER] BRENET
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